Les sophistes lobbystes: Habiles et guère vains, éloquents, ils sont de certaines coteries, pérorant, assénant, venus propager la bonne parole, celle de leur chapelle, si reconnaissante, au trébuchet des sonnantes et trébuchantes, bateleur d'estrade, hercule de foire quand n'ont de cesse de se vampiriser les inégalités sociales. Parfois, pour les plus en verve, ils haranguent, en rhéteur sans pudeur, ils ont, chevillé à la formation, et à l'âme, le goût de faire culpabiliser ceux des castes inférieures, les battoirs péremptoires s'abattent, puis ils retournent s'ébattre en contrées que le quidam manant ne peut qu'approcher sottement devant des émissions cyniques censées le faire «rêver». Pitrerie grossière, ne cessera de me faire penser, en image, à une vache réformée à l'abattoir s'extasiant devant la beauté du pistolet électrique brillant qui va l'étourdir avant d'être abattue. La boucle est bâclée, de déjections en incivilités, ainsi va le monde, de plus en plus immonde. «Manquerait plus qu'une bonne guerre, ça relancerait la croissance», mais seras-tu encore là pour en profiter, de ta croix sens, unique inique.
Education religieuse: Oxymore, c'est écrire éducation croyance, ça tient pas. Pour reprendre Sophie Aram «on vous laisse croire, laissez-nous penser».
Quand le mode de pensée collectif: Est mode de penser consommer, à la mode de quand, les poules auront des dents, pour bouffer le cul du fermier Mosanto adorant passer à la télé pour Loué et louer la volaille «qui fait l'opinion» dans une énième pub prosélyte vouée au capitalisme cannibale mensonger infantilisant et surtout, con.
Journaux cache-sexe: Fout les boules. C'est l'imbroglio du maquis maquillé, macs en embuscade.
Les éclectiques du Pole Empoil: Effectifs ecclésiastiques deviennent christiques tant ils perdent leurs clefs. Trop de serrures pour des trousseaux ne cessant de s'alourdir en nouvelles clefs. La mariée était trop, alourdit, avant le gâteau ?