"Il faut supprimer l'ISF, c'est l'impôt de la jalousie", plus rien à ajouter, ils sont dans l'étable, regardent les pâtures brûler en exportant l'eau, mais ce sont des nomades, ils sont chez eux dans tous les pays, excellence friquée oblige. La politique c'est comme le rhutabaga, si ça existe, ça peut nous permettre d'au moins bouffer ça, face à l'expansition des champs de truffes surveillés, mais on en mange toujours trop. Bon, le rhutabaga, c'est devenu mode, donc cher, ils en mangent en cachette pour rigoler, se gaussant et pour certains se remémorrant ces belles fortunes faites sous l'occupation ou en tout cas guère entravées, bien au contraire. Pendant ce temps, pour faciliter l'équilibre de la terreur, Lagardère au monopole, lit.
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Philosophie
Art de faire saliver les conscience en suie. Elles s'enflamment pour une phrase bien absconse sans jamais allumer une vraie mèche explosive, ou tétée de longue date. Illumination pour caverneux et calvaires nés.
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Complices, mais pas coupables
Il est quand même incroyable que des gens dont le seul crédo est la retanbilité poussent au cul le Ministère de je ne sais plus trop quoi pour qu'ils nous pondent une note de service intitulée "Nos emplettes sont nos emplois, achetez français et autre patriotisme économique", comme si ça allait les empêcher de rechercher le plus faible coût si la consommation nationale française redémarrait.
Leur sens civique pour le plus grand nombre c'est la thune, ne l'oublions pas, je sais, ça fait un peu gaucho plombé, mais en face c'est des capitalos phase terminale, il n'y a que les cadres (quoique) pour ne pas s'en rendre compte, pour eux c'est la marche recherchée, avec toutes les peaux de bananes qu'ils ont évitées, vous croyez pas qu'ils vont marcher sur une si près du but, ou alors pour l'envoyer dans la gueule de celui qui suit.