Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Yuna

     

    Ton absence me remplit de non-sens
    Vacuité assourdissante
    Ces pelletées résonnent
    Après tes râles

    Douleur intérieure
    Jusqu'au bout le ronronnement
    Ma barcasse est en plomb
    Mes pagaies caoutchouteuses

    Me signifiant à l'insignifié crucifié
    Reconnaissance d'amour
    Torrent d'émotions en douves atterrées
    L'altéré au pont-levis

    Refaire semblant
    Conventions quo "électives"
    Quel dégoût
    Un ange chat passa trépassa

    Tira sa révérence, un ange chat
    "M'abandonna".

    Vide étouffant, au soupirail, le zombie se fout de la route, puisqu'elle est, barrée.

    Le 05/12/2013.

     

    Mon amie chatte partie, le 4 de ce mois, les textes suivants en découlent, des dés coulent, et Dédé pagaie.

     

    Un ange casse

    Les vautours croassent.
    Entre chien et loup la nuit me fait peur
    Petite soeur hors des leurres
    Loin de tout leur beurre

    Fondu, pour pièce-montée
    Magniérée, simplicité
    Ehontée, pour cramés
    Ignifugés, atterré

    L'être sincère voie basse
    Entre chat et nous la nuit
    Se meurt, rend coeur
    Encore! Bilan destructeur.

    A la croisée des chemins l'horizon est bas, mais que bassesse cesse, car le bas qui blesse n'est que réflexes sexes sans conscience, et la mort dans tout ça? Variable d'ajustement? Ajuste et ment? Injuste, et l'écrit qu'une béquille molle, une diversion, éphémère.
     

    Le 5 décembre 2013-12-11

     

    En l’an de glace

    Invasion à Les Angeles
    Les hameçons sont lâchés
    Pourchassés bourgeoisés
    Un vase ion sans es

    Ex-pire que tes symboles
    Crachats chlory
    Druidiques
    Trop de râles

    Pour tant de râble
    Cablé? Accablé
    Le taon pied
    Coup de

    Ne pas écraser
    Fêtes de no elle
    Mais pourtant
    Que vivent leurs ailes

    Trop alourdies
    Consu- Méry
    A la vidéo
    Maffioso

    Blabla bourge-choses
    Chose choses
    Chausses clapes
    Ayant connu

    "Prostituées"
    Desti-tuer que les DSK viennent
    Sans Vals
    Ou star du Val

    Que val s'en face
    Quelle berge?
    N'ayant pu
    Abréger.

    Mais ne sachant
    Ni trop ni quoi
    De guingois
    Mais là.

    Le 7 du mois.

     

    Un ange se glace

    Dans mon marigot du ciment sous les plaines, sous les plaintes , du purin aviné en cure cubis tassés, tournée la page, de la fa(r)ce de l’immonde. Concomitance du temps, des tant. Ce siècle avait 12 ans, au touché coulé huit jours enterrée, que je m’enterre, mais je prends l’air. De rien. Au grand huit, hauts les cœurs. Réflexes inculqués rimés grimés potager, le pot aux roses viendra de terre, fanées, artificielles, au tripot tripoux et ses simagrées. Que de cette liesse ne suintent que des laisses et, pour contes, à dormir daube boue. Il fut un temps je bous, maintenant j’attends.

    Préférer les cendres, elles volettent, une étincelle naturelle. Lourdeur, mort, terre dure, mur.
    « Invasion à Los Angeles », que neige été le la plus? En miroir défroqué « Risibles amours », le knout des rats m’empoisonne, risibles atours. Les vers tendent verre l’elfe fini. Douleur, doux leurres, deux cœurs sûrs, un de moins, l’autre coupé. Espace ravagé, espaces tronqués.

    Vacuité, vas cuité, au champ, pelle et pioche, l’ange chatte en son roide trépas œil fixe gueule bloquée au dernier long souffle angoissant déchirant que je dépose avant le mur. Quelques mots, encore, et la recouvrir. Quelle misère.

    Garde ta « gnaque » hauts les cœurs ! Tu te crois en guerre, qui t’a dit ça ? Cil à cil ne regarde pas en profondeur, mais il le faut, que charognards ne la déterrent. Ni diversions ni digressions, à terre pour en avoir creusé, bien bas bien las, bien moins qu’elle.

    S’habituer à l’absence , montre molle et vide d’heures cruellement habitées, le centurion hagard erre aux mille pas se complique la danse macabre, mais en tout honnêteté ne pense qu’a une danse, à jamais figée. Quel vide. Vit dans l’air, un poison, quel manque, vit dans un chagrin rougeoyant crevant.

    Ce jour.