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  • T'en veux du réchauffé !

    « Si dans une chaîne tu casses des maillons ne sois surpris si elle te revient dans la gueule  » Abouji Bal Am-Medja, 12eme siècle : Une pathologie au départ, ou un manque affectif, ou des problèmes dans l'enfance, ou un sentiment d'exclusion, ou on t'a piqué ta baballe, ou que sais-je ? Des proies. Daesh, une vaste entreprise de démolition tenue par des maffieux, aux stratégies avérées, dont club de rencontres maison de passes. La religion, un prétexte. Pas si sur, leurs activités financent leur obsession, régresser. Leurs tueurs ressemblent aux S.A d'Hitler, c'est pratique, ils s'éliminent tout seul. Hitler, qui fut à la tête d'une vaste organisation de voyous (ah, le bon temps du pillage), des exactions, bon, mieux éduqués quand même, la télé réalité et autres cochonneries pour nazes n'existaient pas. Fallait bien lire (un peu, quand même) et respecter la transmission du savoir instillé par les profs. Mais ils basculèrent, suivant un psychopathe, et brûlèrent les livres. Ce besoin de servitude volontaire, ne pas penser par soi même, le rêve, l'exaltation par la démission de soi vers... qu'importe, « des ordres, des ordres. » Désordre. Ordre sans conscience n'est que ruines de larmes, d'âmes, mais pas de lames. Le manichéisme sauveur. Ils attaquèrent une « zone grise », zone de coexistence entre musulmans et non-musulmans. Détruire une jeunesse tolérante, éduquée, la seule visée, détruire l'intelligence, tel est leur but. En France (comme ailleurs, sûrement), persécutions, harcèlement, racket avant tout dirigés vers les bons élèves. Le reflet d'une époque. Ca à toujours été, mais pas en ces proportions.

    Des psychopathes illettrés (bla-bla-bla, des cons dangereux, mais pas seulement, et pas tous abrutis, de surcroît) faciles à endoctriner, en les habillant des oripeaux de la religion, il y en a plein les prisons. Etant guère reconnus par leurs coreligionnaires sur le théâtre des opérations guerrières pour nombre venus de l'étranger, suivre des plans destructeurs amène crédibilité et houris. Servir la cause, jusqu'au sacrifice, la fierté. Donner un sens à sa vie par sa mort. La risquer, mais la rechercher ? Ces « soldats » fous de Dieu trouvent une cause pour se transcender, en cendres. Des imams sincères dans leur foi devenue destructrice, il y en a , la foi devenue folle. Alors, passer par la « déradicalisation ? » Ca fait dératisation. En attendant d'autres attentats risquent se survenir, plus ciblés ? Tuer tous azimuts, à l'aveugle, et même des musulmans (mais des mauvais, puisque en lieux de mauvaise vie), certains devaient boire du thé. Cela risque de les desservir, car au lieu, et c'est leur but, de faire monter « l'islamophobie », ça ressert plutôt les liens.

    Ils rejoignent l'extrême-droite, sont alliés, indirectement, puisqu'ils parlent « d'Antéchrist coranique », et avec des exactions de ce calibre, de l'islamisation de l'Europe (et donc, d'une « cinquième colonne ») ancrée pour la dissolution de l'Occident. Donc défendre les racines judéo-chrétiennes et européennes face aux propagandistes gauchistes et multiculturalistes, il y en a beaucoup à mon sens parmi les morts de Paris. Une même vision du monde, « chacun chez soi », mais l'extrême droite ne souhaite pas créer un national-socialisme mondial. Ah, on me dit dans l'oreillette de relire mes cours sur la seconde guerre mondiale.

    J'ai lu des centaines de commentaires, surtout pour une vidéo des Guignols, ça part dans tous les sens, même les juifs se sont invités (bien malgré eux) à la foire d'empoigne. Pas d'apologie des tueries (ou deux trois commentaires d'illettrés, le langage SMS avec des fautes, je crois que c'est le seul qu'ils connaissent, ça doit pas être facile pour lire le Coran), perpétrées par des kamikazes, mais non, ce ne sont pas des japonais ces tueurs, nous les appellerons donc par leur vrai nom, des assassins. C'est terrifiant la flopée de tas de merde de fils de pute et autres bâtards de chiens galeux suceurs de bite qu'ils se prennent dans le cul gratté au préalable au papier de verre et tout ça en mangeant leurs morts (ce qui en soit paraît inconcevable, on peut pas tout faire d'un coup) etc. !!!? J'ai du trop en lire. Espérons qu'il y ait des trolls fafs là-dessous, mais je ne crois pas (de ce que j'ai lu).

    Sinon, pas de marche en parallèle avec la COP 21, mais le marché de noël sera bien ouvert. Quel symbole. Et si ces djihadistes étaient sans le savoir en mission commandée pour les maffieux du pétrole, que surtout rien ne bouge ? Si c'est ça à mon avis sur les vierges aussi ils se sont faits entuber. Attaquer des « zones grises » et se griser pour défendre l'or noir ? En tout cas terroristes et vrais richous ont un point commun, en dehors du fait qu'ils ne risquent pas de se rencontrer, c'est qu'ils ne connaissent pas les (de) frontières.

  • Rasades.

    Entendu : « A la campagne, on est tranquille » ? Bah oui, pas de jeunes radicalisés et de kalaches à la campagne, les gens sont contre.

    « ...tout fonctionnaire qui acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit d'en donner avis sans délai au procureur de la République » : Le fonctionnaire a obligation d'être un lanceur d'alerte, le citoyen est poursuivi. Kesako ? C'est que du coup c'est moins facile à étouffer.

    La stridulation du grillon favorise t-elle l'achat compulsif : Je dis ça, en mon Carrefour, il n'y en a qu'un (?) planqué dans le toit, et il fait un boucan. Une enceinte ?

    « Les sucettes à l'anis d'Annie », de Gainsbourg : Sont une belle litanie, mais souvent ce qu'il faut avaler de couleuvres pour voir son orvet castré (anaconda dans le sud), normalement elles ne sont pas venimeuses, enfin, dans la nature.

    Entendu : « Ils nous parlent comme à des enfants. » Non, les enfants c'est les enfants, comme à des demeurés puisqu'en demeures ils leurrent.

    « Tous ensemble tous ensemble, yei, yei » : Dans une société où entuber son prochain et faire le plus de fric possible sur son râble est devenu sport national ? Marrant. Tous ensemble en cas de drame, après, le quotidien reprend « ses droits ». En système de société où les pauvres (on dit économiquement faibles, en bon faux-cul manipulateur) s'appauvrissent et grands richesses ne cessent de se goinfrer, la réalité reprend ses doigts, et brandit de nouveau, le même.

    Souvenez-vous : « L'écologie, ça commence à bien faire », de Sarkozy, c'est sur, avec son mode de vie.

    « Le suicide, c'est quand on s'en veut, moi, personnellement, je ne m'en veux pas » Desproges, de tête : Mais les « je mens » et « veux pas », que tu le veuilles ou non pas à pas à te grignoter l'espace mental, inconnu de leur moi donc tu ne mérites que risée, ces trous duc, petits roitelets d'une terre en friche, bon, on va où là ? Y avait-il un sous-entendu chez Desproges ? Il vaut mieux suicider les autres ? A se concentrer sur des cons centrés, là, à petit feu, c'est ce qu'on fait. C'est qu'ils prennent de l'espace, ces envahisseurs, souvent ils tournent en rond, à vide, les plus avides, fréquemment, paradoxalement. Pas sur.

    La guerre sale s'étend : Pas la guerre propre ? De plus en plus de gens sales, dans leurs têtes.

  • Le goût vers, nanh !

    Enervement : Vivre sur les nerfs en charbons ardents (appelé énergie, bêtement, tout comme avoir un sale caractère, c'est avoir du caractère, débile), se répercute sur autrui créant une chaîne d'énervés. Malsain. Défendre l'indéfendable, ou comment accepter de fausses valeurs, on va me parler de gnaque aussi, alors que ce n'est le plus souvent qu'un déséquilibre psychologique néfaste pour l'entourage. Une tumeur cancéreuse créée rarement autour d'elle le bien-être. C'est bien notre société ça, à toujours défendre ce qui est cancéreux pour le corps social, normal, ils connaissent bien les vendeurs de médocs, ça aide, pour remplir sa cave, d'autres médocs.

    Interconnecté pour communiquer sans réelle pensée puisque tournant à vide : L'ère du bla-bla, du tambour lessiveuse avec ses crabes rouges, envahissants, clac-clac-clac, l'ère, du poulailler (« la volaille qui fait l'opinion, qui dit... ».

    Gouvernants : De grands bourgeois vivant sous cloche sécurisée adorant leur mode de vie, pour cause. Alors, que rien ne bouge ? Ne vivant pas comme nous, penser, à notre place ? Aberration.

    Enjeu et jeu de masques : Machin et machine, unanimes, animent un théâtre d'ombres, dévoreuses, venimeuses, on croit toujours les tenir à distance, mais elles savent se draper de temps en temps d'une lumière un instant rassurante, un retour du temps éclairé, sournoises, mais tu ne sors du tunnel. Avance, va au bout, tu arrêteras d'emmerder les chauves-souris.

    Gattaz : « Il faut des clauses de séparation pour le CDI comme dans un contrat de mariage » ? 85% des embauches sont en CDD. A l'instar de la Parisot, et sa précarité normal dans le monde du travail comme dans l'amour, le Medef, décidément, une succursale du salon d'Eros, avec Cupidon au guichet, bah oui, Cupidon le cupide, à la place stratégique.

    Entendu : « Pour les gens de droite la réalité est de droite. » Putain, en 2017, on se tape des borgnes, remarque, après un gouvernement en oeillères affirmé, mais l'oeil valide sera celui de droite, de plus, avec un strabisme tirant dans cette même direction. La gauche leur prépara le terrain, ils finiront le chantier, et seront encore moins empressés de faire la chasse au gras pognon crachant sur le contrat social.