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  • Argh !!!

    Grande surface du matin, doux parfum d'airain (j'en sors) : Vous avez vu le prix de la vache réformée; appelée bœuf par je ne sais quelle incongruité dite du « tous les mensonges sont permis le système où tu te complais, t'esbaudis et d'ébats qui nous arrange puisqu'on t'abat ABBA compris cet abat de la musique mais qu'importe si tes ébats sont satisfaisants, même pas !? », pour en revenir au début dite donc du bien profond en ton... toi. De la pisseuse de lait à la pisseuse de fric, guère réformée celle là. Quant aux poissons poisons même sauvages (pour libres d'entraves d'élevage, méditons), bourrés de saloperies on ne dit plus tarifs prohibitifs mais de prohibition, vu les prix ils sont braconnés ? Pas faux vu les prélèvements massacres. Si ça pousse les gens à moins manger de viande, ce qui dans les faits s'avère, mais pas dans les prix !? Et la loi de l'offre et de la demande dont ils nous rabâchent les oreilles, s'exprimant à des demeurés avec qui il faut faire simple (penser, comme ça c'est eux les chefs puisque seuls ils comprennent la complexité), de l'amande plutôt. Comme je le dis toujours, eux comprennent la vie, nous, pauvres cons, ne faisons que la vivre. Profundus ad vitaem, qu'on vous dit. Et puis, rien à voir, au pays des enculés, faut-il en devenir un soi même ? Pourquoi un, nécessairement au moins deux, puisqu'il ment. Du coup rien à voir, comme un doute. Voilà, c'était la petite rage du matin.

     

    Parce que bon... : La nuance, ouais, pas toujours, couche de merde sur couche de merde, français de merde, ne respectant pas même les préceptes de savoir vivre en commun de base, pouvant, et c'est un comble, être rassos. Ils diront, nationalistes, souverainistes, c'est pas à leur portée. En parlant de portée, que croyez-vous qu'il adviendra de la descendance ? Une couche de plus, en général. Si des scientifiques, dans le futur, prélèvent des carottes pour voir l'évolution du climat, social, ils ne retireront qu'un bâton merdeux, se liquéfiant au fil des ans, en remontant vers la surface. En mon temps, on disait « fini à la pisse », au point où on en est, je dirais, « fini à la chaude pisse ». Donc, pour une reprise (peut-être), ça commence pas finement, mais là, tout le monde comprend (sauf les concernés, alors que c'est nous, en deux mots).

     

    « Je n'en veux pas aux ignorants d'être ignorants, j'en veux aux « sachants » de polluer leur esprit et d'exacerber leur ignorance » : Sachant qu'il est plus facile d'être un con fier de l'être puisqu'il n'y a pas d'efforts à faire (c'est commode), les caresser dans le sens du poil revient à gaver une oie empoisonnée en pleine addiction caracolant devant l'entonnoir. 

     

    Ils coupent la ventilation dans un élevage de dindes atteintes de la grippe aviaire aux E.U qui meurent en souffrance pendant plus d'une demie-heure : A la "Dead seat", la série, ne peut-on utiliser cette méthode dans les télés-réalité, ils étouffent tellement nombre de jeunes (études à l'appui), de bons petits soldats dans le genre de la simplification de l'ortografe, aucun effort, pavaner, se complaire dans la frime, posséder la même langue cuite, passer son temps à renifler le cul du voisin pour combattre son ennui, dénigrer pour faire du fric, se placer, en somme(s), signe d'une vacuité d'esprit toujours plus envahissante, mais tout ça, c'est bon pour le commerce, car de moins en moins d'esprit critique (et ça ne passe pas sans effort), c'est moins de recul pour l'achat devenu compulsif. En ce moment, les cons, c'est l'overdose.

     

    D'un maître de conférences en sciences de l'information : « L'abrutissement organisé comme projet social, l'autoritarisme comme principal mode de gouvernance, et le cynisme comme principal mode de négociation ». Bienvenue. Et que les ouailles mettent bien le bulletin dans le tronc, même s'il sent le sapin.

     

    J'en viens, ça glisse au pays des couches sur couches, cf plus haut : Spéciale dédicace à tous et toutes ceux qui aiment « oh que oui grand Dieu si vous saviez c'est comme mon enfant » leur chien (ou chienne) le (la) laissant poser son étron sans ramasser allant il est vrai jusqu'au bout de leur logique signifiant ainsi leur haine de l'être humain mais une question se pose, au final, torchent-ils (ou torchaient-ils) leur(s) gosse(s) ? Ca expliquerait beaucoup, de manière freudienne, patauger dans sa merde, petit, n'est-ce pas les pousser, « grands », « adultes », à piéger enliser l'autre, dedans ?

     

    Au mitan du récit mité (à 38 ans?) : La valeur (ajoutée) n'attend point (de suture) le nombre, des damnés, de la terre, ventre à terre, au pot de fer, les vers du pot de terre jamais conviés aux pots-de-vin, alors que vains nullement, qui crée véritablement la richesse (ils parlent d'économie réelle, donc une économie irréelle, qui bafoue la vraie, et qui est, intouchable). Les profiteurs ? Aux profits tuteurs, les travailleurs, « l'élite » en titres de sueur (et de sang), les élytres en étui pour protéger leurs ailes, de ce qui leur en donne dans la vie, des ailes, avec tous ces étuis à fric planqué. Oui, avouons-le, même si on en parle plus, des caisses noires, l'argent fraudé sert aussi, à ça (butin de guerre, pour les lobbyistes). Le Macron macro (économie, ou maquereau ?) du Medef approuve des antennes.

     

    Et, pour finir, un « entendu » collant au niveau du jour : « Il se fait mener par le bout du nez, enfin, du nez, de la bite (donc du nez), mais il y en a combien des comme ça ? ». Au moins la bite, siège de terminaisons nerveuses, ce n'est pas qu'au bout. C'était la matinée mâtinée de bite, con, étron, mais revenir de courses et ayant marché dedans, comme une nausée, alors, sabre au clair (ou clerc ?).