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Sus aux contrevenants

Y'en a marre de cette société sans repères, il est temps de donner corps à certaines idées de base, saines et coercitives., à mettre sur le devant de la scène. Je vais donc essayer de contribuer, pour une bien faible part, à la résurgence d'une France forte et sûre d'elle, en cinq points (de suture, la France est ouverte).

1er point: Un bon pauvre est un pauvre qui sait rester digne, discret, par respect pour le riche qui peut ainsi continuer à l'humilier en toute impunité sans jamais se demander ce que le mot "pudeur" (mais laquelle) veut dire. Le pauvre peut éventuellement après casting passer à la télé, la compassion ça n'engage à rien et ça alimente la discussion oiseuse basée sur des arguties de merde et ça c'est pour montrer que je connais la définition d'arguties. C'est nul. On peut donc dire que les pauvres ont une fonction sociale même s'ils ont un point un poids économique incertain. Un bon point pour les pauvres, qui n'en doutons pas, le méritent.   

2e: Si la misère est une invention de l'homme, c'est pas pour des prunes, alors suce bien tes noyaux.

3e: Il est temps que la femme regagne la chaumière, depuis qu'elle  a envahi le monde du travail, on est moins à ce qu'on fait, on se laisse distraire, et c'est l'efficacité qui prend au détriment de ............... dommage. 

4e: Il faut chasser les bouffons et autres guignols de la cité, avec leur logique à l'emporte -pièce, ils ruinent nos espérances, en plus on fout de l'argent par les fenêtres à cause d'eux, alors que par la cheminée, au moins y'a le Père Noel. Vous savez combien ça coûte une campagne (ou compagne) de communication, tous ces conseillers qui nous entourent, en deux phrases ils vous massacrent des mois de boulot, des vandales, de vrais houligans, aucun respect pour la manip médiatique, alors que c'est du boulot tout ça. 

Et enfin 5e, point, il faut avoir confiance en l'avenir, et je ne dis pas ça parce que j'ai de nombreux pied-à-terre à l'étranger et quelques coffres sous certaines terres acceuillantes. 

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