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Mais où suis-je?

A l'époque des Nuls, je regardais la télé de la même manière, corne d'abondance de la rigolade, mais aujourd'hui? Bigre, ils ont tellement, lissé, policé, vidé, la médiocrité n'est même plus drôle, seulement vaine et vide. L'avoine transgénique, ce sentiment de ne plus exister face à cette vulgarité, pour les télés "réalité", est-ce une délectation morbide de la souffrance d'autrui? Seules les gueules et les culs changent, la singularité s'efface, ils ont tous les mêmes phrases, formules. "Je pense donc je suis", Descartes s'est trompé, pas du verbe être, mais suivre. 

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