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Coup de sang

 

Langue de putois 


Crottée, fielleuse, cuite, tu vas, déambulant, à la recherche de potins, des cancans cracra, tu fais sous toi, tu pues toi, gorgé de pus, pute à toi, à hue et à dia, croûtée, le diviser pour régner tu utilises, en jubiles en ton âme malsaine, ivre de gnangnans gnagnas niais, tu te déplaces tel un chancre à l’assaut, à l’affût, nourrir tes flatulences, fétu de paille, que fais-tu de tout cela ? 

Des boulettes, comme le boulier, mais ton temps t’est compté, la dernière t’entraînera dans son élan, t’écrasera. 

Non, comme tous les escrocs, tu déménageras, comme toujours, et recommenceras ton manège boursouflé, d’importance, d’insignifiance, tique sur épiderme, morpion tu resteras. 

Derrière le blabla, seulement soi, purée de pâté de tête, avec en-tête, galvaudée, derrière les appâts rances, tu flattes ton errance, sans accroche, jouissant d’anicroches, tu décoches des traits orduriers, loin de la façade en trompe-l’œil, mais tu aimes exaspérer, être rejeté, puis jouer la victime, se complaire encore, toujours, dans la fausseté, garante d’une sérénité entachée de vices, à la dérive tu te complais, mais incapable de te passer des autres, tu louvoies. 

Car sans les autres, plus de drogue, tu te shootes au méprisable de notre société, voyeur de télé réel alité tu devrais (tu dois ?), client de l’infâme, de toute ton âme, tu stridules le soir venu, quand les bouches se sont tues, déjà fomentation fermentation de nouvelles vilenies, que tu nies, comme des jeunes, pensant aux méfaits du lendemain, pourtant, tu n’es pas de leur quartier. 

Mais une sale mentalité ne fait pas de quartiers. 

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