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Egards

 

J'ai vu mes miroirs se refléter dans l'zinc, pas beau à voir, j'ai vu des cafards se goudronner sans l'flingue, pas beau à croire, j'ai vu l'ennui emporter les esprits, pas drôle à voir, j'ai vu la vie emporter les saisis, pas drôle de s'revoir, j'ai vu des filles pas très dociles, pas belles à croire.

En la ville bib'lots, en la ville vitrine, on se prend au mot, on sait faire mine, le fruit défend, son dû, en la ville jolis lots, en la ville sanguine, chacun défend, son cul. C'est en charretées de mots en sarclés de charclots que la vie sans fûts au goût de déjà vu, déjà bu, s'en fut.

Cette ville blêmit, pleine de culs précieux pas très pernicieux, je ne fais qu'passer, en ces terres arides, laissons les s'vider, ces statues livides, et reprenons la route, sans plus attendre, oublions ces loutres, au plumage à vendre.

 

 

La glu t’a émasculé

Prisonnier de ses rets
Têtard sec bien tard pour toi
Tu cherches une mare racée
N’en déplaise aux élans effilochés

Regardes- toi dans un mime roide
Pantin tchao remise froide
Au frigo tes rêves barde(nt)
Déjà barbon bavarde

Tu cherches un coup de frais
Futiles entrechats pour soi
Cachet de la pose faisant eh !
Faisan fi nouille autres assurés

D’une rigolade au fumeux code
Et le tentaculaire vide
Te plonge dans l’insipide
Cruauté et ses charades alambiquées.

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