Jusqu'à là.

 

Eau: Jusqu'à Napoléon Bonaparte, elle appartenait au Roi et seigneurs, un formidable moyen de pression sur ses sujets. Il y remédia mais dut faire marche arrière. Peter Brabek, président du groupe Nestlé, estime que l'accès à l'eau n'est en rien un droit fondamental, c'est une denrée comme une autre soumise à la loi du marché. Toute denrée alimentaire a une valeur marchande, très proche idéologiquement de Mosanto. Pour cet homme le bio est dangereux, les OGM inoffensifs. Je comprends, la flotte est tellement souillée, «les filles, vos cheveux après le shampoing, ça craint, rincés les à l'eau en bouteille». Il est aussi vice-président du conseil d'administration de l'Oréal. Ca c'est de l'organisation. C'est fou ces gens (de haut en bas) qui se lèvent le matin, une obsession «comment les faire cracher plus au bassinet», jamais ça les bassine. Addiction au pouvoir sur les cohortes de manipulés. Malsain.

 

Pas tous égaux (mais bons légos) face à la retraite: F. Hollande, toutes retraites confondues, touchera 35 800 euros bruts. C'est tout.

 

Aliénation: Et aliens nation, le premier jour des soldes.

 

A la radio: D'une musulmane voilée, «obéissance au créateur, obéir à ses lois», «la divergence entre les religions vient de l'adoration», parce que obéir aveuglément, c'est pas de l'adoration ? «C'est Dieu qui décide, pas les hommes», l'islam, religion du déterminisme, du fatalisme ? Mais Dieu, un jour les mathématiques le percerons à jour. Dieu, une équation ?

 

Plus c'est gros plus ça passe: Dans l'art contemporain, que d'oeuvres monumentales pour faire passer la médiocrité, en assommant (avec le buldo médiatique, grosse maffia ce milieu, ambiance traders en haut de leur pyramide).

 

Info ou intox: 25% de la gent féminine sous médocs anti troubles mentaux (de légers à lourds). C'est pour ça ! Et les hommes ? Pas d'info, ça sent l'intox. Troubles mentaux, c'est vaste, irrépressible obnubilation du shopping, ça compte  ?

 

Allégeance aux ventriloques: Vents trient, loques.

 

Beau, cage.

 

S.F: Anticipation. Un planqué, sur son île protégée, après avoir bien rigolé, mâchoires crispées, les décisions ne se prennent au débotté (quoique, en bourse ?), pour régaler sa nichée, et ses à-côté, alla vivre en résidence surveillée (par ses gens armés). Mais le crowdfunding passa par là, et une bande de mercenaires s'occupèrent d'eux, puisqu'ils n'étaient assez aguerris. Le planqué (comme commandé) finit au bûcher, dans sa somptueuse baraque. Famille fut épargnée (et les animaux). Cela ce sut, les autres commencèrent, à paniquer. Les boites de protection se régalèrent, car la galère ne peut les toucher, quand tout est mis en œuvre pour développer la violence, pas de quoi se, miner. Plein de petits îlots (symboliques ou non) surprotégés pour continuer à déposséder, spolier, vivre quoi !!! Vivre ? Il y a survivre, et non, «sousvivre», eux sont en survivre.

 

F.N: N'avez-vous pas remarqué, Jean Marie le Pen décide de saborder son parti surtout depuis qu'il apprit l'homosexualité de Filipot, alors, l'un «gaulliste» et l'autre OAS, je crois que c'est secondaire, car les PD, au bon vieux temps du maréchal, on les ratonnait. Les homos infiltrent et prennent le pouvoir au sein de sa création, non mais vous imaginez un peu ?!!!

 

L'écume: «Les chose», de G. Perec, l'écume des choses, dans «l'écume des jours», de B.Vian, se continue dans l'écume des nuits, jusqu'au «morsures de l'aube», de T. Benacquista. On écume, fatigué, cherchant un sens à ce fatras cette bouillie, la bave aux lèvres, puisqu'en colère parfois, pourtant bourré, qu'a voulu dire ce tour de cadran ? Ca cadre avec quoi ? Un cadre ladre, chemin de traverse nécessaire face au chassé-croisé de routines pesantes, tout ça essentiellement pour acquérir des choses. Mais c'est nous la chose, «la créature des marais», au bocage, nous tamisons le fond, esprits en bocaux. Les yoles, silencieuses, bien achalandées, au fil de l'eau, mais très équilibrées, nous glissent dessus, les gens à la godille, ne nous voient pas, l'eau est trop trouble. Quoi, c'est nous les troubles !!!

 

"Perroquettons", c'est si bon.

 

D'un Républicain de l'Yonne: Il veut pour accéder à un logement social pour les immigrés de fraîche date pas deux mais cinq ans d'attente. Le bourge qui lit les textes mais ne connait rien au terrain, on appelle ça un bouffon, mais avec du pognon, ça passe. Leur nouveau parti c'est pour le R majuscule à républicains, je pense que leurs publicitaires leur ont vendu comme ça. Une attrape psychologique pour nigauds. Le saviez-vous, un républicain c'est aussi un moineau qui construit un nid communautaire où se reproduisent plusieurs dizaines de couples (appelé le DSK dans le milieu).

 

Soyons humain faisons n'importe quoi sans s'en départir sans coup férir: Ca fait rire, ce dérèglement psychologique tenu en vertu par la pression permanente du consumérisme infantilisant et abrutissant. «Humain trop humain», on ne nait pas avec le cordon visqueux de la pub autour du cou, même si Nestlé est déjà là, en embuscade.

 

Trémolos: L'Europe, pour que ses peuples ne se fassent plus la guerre, sauf entre riches et pauvres.

 

Le meilleur ami de l'homoncule: Le Mexique, l'Argentine, Le Kazakhstan, la Mongolie, et ses belles promenades à cheval, animal tant aimé. Dans l'ordre, 78 000 tonnes mangées/an, 57 000, 55 000, 38 000 pour 7 500 en France, mais 20 000 selon Brigitte Bardot. 0,3% de la viande totale en notre pays consommée, donc l'idée de le faire passer d'animal de rente à celui de compagnie. 80% viennent de l'hippisme, et 20% du total sont des poulains. 0,3%, un bien petit effort (surtout que les 20% restant viennent en majorité des pays de l'est en conditions effroyables). Alors, de l'homme, ou de l'homoncule ?

 

Question: Un califat mondial basé sur la charia et un califat également mondial de la doxa ultra libéral de l'organisation du travail peuvent-ils s'imbriquer ? Ils reposent sur l'assujettissement, et ont le contrôle des matières premières en commun, donc, concurrence. Ils peuvent s'entendre, en secret, pour le partage du grisbi. Le saviez-vous, des membres de l'extrême-droite européenne rencontrent des islamistes radicaux, discrètement, ce n'est pas si surprenant, ils ont un objectif en commun, chacun chez soi.

 

«I have a dream»: Ils rêvent de mini job en France, pour moins de prestations sociales par de l'aide fiscale, et deux mini job remplacent un emploi. Ils augmentent tout et ne rêvent que de déprécier le taux horaire. Nos politiques (bon nombre) ne sont que les caniches nains du MEDEF, de l'OMC, etc. Des chevaux de Troie. Donc vraiment moins de consommation et le partage du travail, je ne vois que ça comme piliers pour un avenir collectif (et la chasse aux escrocs, pour une meilleure répartition des richesses). Oui, je sais, la chasse aux margoulins, ça fait pas sérieux, ça fait arriéré. Et puis la fuite des capitaux (rarement en corrélation avec celle des cerveaux), c'est mauvais pour notre économie. Bah voyons, parce que cette manne anti-déficits, ça serait néfaste pour notre économie de la combattre sérieusement ? Perroquet, retrouve ta cage (aux barreaux non dorés).