Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

C'est comment qu'on freine - Page 2

  • "Ah ça ira ça ira ça ira..."

    Entendu : « Ca ne te gêne pas de porter les fringues d'un mort ? - Il les portait pas mort, que je sache. » Le shintoïsme, allié du savoir -gâcher.

    Beaucoup de bruit pour, reins : A toujours vouloir casser ceux des pauvres, ils ont même inventé un mot, la « pauvrophobie », l'ennemi, le pauvre, pas le gros fraudeur. En 2013, l'ensemble des minimas sociaux représente 1,1% du PIB du pays. Ca fait combien, par tête de bite sensible aux discours de castes ? La pauvreté redevient une maladie virale, au propre (et opprobre) comme au figuré (défiguré).

    Un entendu radio : Parlant « des écuries d'ogiaque », beau lapsus, entre orgiaque et Ogias, ça causait des wikeleaks des Bahamas, et me fit penser au Banana Split et sa grosse banane, à déguster entre soi sur une de ces îles loin du tumulte, des emmerdeurs et de tout ce pressurisé toujours pressé d'aller nulle part, si ce n'est, pour certains, de faire chier son prochain, sinon, qui serait-il ? Des gens normaux ?! C'est pas à la mode, le respect, c'est pas assez moi-je égoïste individualiste abruti. Des femelles ne sont pas en reste, s'il y a bien un truc où la parité fonctionne... Pas besoin d'une loi, c'est une loi naturelle de notre système de fonctionnement en cette société, collectivement pourrissante. Et le fric ne fait pas le bonheur... Des pauvres, comme disait Coluche. Parce que la tranquillité, c'est pas un morceau du bonheur ? C'est plus facile avec de la fraîche, quand même, pour se rafraîchir l'esprit, s'écarter (personnellement) du fatras foutraque parfois ordurier vu certains comportements. A lier le lierre qui ne cesse d'aliéner pour des alinéas qui n'en sont pas puisque le coutumier répétitif n'est pas signe de changement d'idée (ni de paradigme) mais bien plutôt exhortation à un statu quo intrinsèquement contre les valeurs de la République du simple savoir vivre ensemble cette obligation collective résultant de lois coercitives et de siècles de bon sens sensé se bonifier au fil des décades mais qui semble se déliter au fur et à mesure que la connerie s'illustre fière et prétentieuse en tellement de pans de notre société qu'il faudrait être fou pour la nourrir plus. Ah ah ah, la phrase pourrie (j'ai revu "et vice et versa" des Inconnus hier). Si c'était l'alinéa (le dessin animé) qui l'illustrait, en plus expliqué en italien, tout de suite moins faussement sentencieux, mais il était pas libre, trop occupé à enjambé les failles des tremblements de terre.

    Complotisme : Pour déminer, lire d'anciens articles, et pas toujours être, même plus le nez dans le guidon, être leur guidon. Attention, des complots, à ça... Mais tellement, quatre commerciaux en réunion peaufinant leur approche pour vendre plus et faire plus de fric, c'est déjà un complot. Les articles de 2008, année de la « crise » sont assez révélateurs.

    Vécu : En grande surface discount, à l'ouverture, le 1er novembre, nous poireautons à la caisse. Une femme fait remarquer qu'on attend. « C'est jour férié aujourd'hui, Madame. » ???! Je vois pas bien le rapport, ou on l'a forcé à bosser. Donc on emmerde ceux sur qui on a un peu de pouvoir. Comme une illustration d'un pendant de notre logique hiérarchique, « sur qui je vais bien pouvoir me venger . » Navrant.

    Entendu : « Où là là, méfies-toi, elle c'est la Belle et la Bête, mais c'est vrai qu'elle est belle, alors on est bête. »



     

  • Que dire...

    De Mr de Lapalisse, Sade : « Justine, au pied. »

    D'un buraliste, j'achète le Canard : « Ah, on va lire quelques potins. - Plus intelligents que d'autres, quand même. - Je sais pas, je le lis pas. » Fin du potin.

    Ah bon : Sarkozy déboursa de sa poche 340 000 euros de sa poche pour rembourser ses dépassements de frais de campagne. Et il critique l'élite et leurs paniers en osier pour y mettre leurs œufs ! Gageons que lui, ne pas mettre ses œufs Fabergé dans le même panier (des comptes cachés ?), il en a fait son antienne.

    Entendu : « On va pas se tricher », pour se mentir, j'imagine. Pas très français mais belle image.

    Guerre de tranche, et, de rires : Morandini, l'aboutissement de la mise au pas des médias télé ? Quelle blague. Présentateur d'une émission sur les médias, une boucle en nœud de pendu. Morandini instrumentalisé, autre boucle.

    Vrais faux gens, faut vrais gens : Oulà, où, là ? Au grand bal des faux-culs, les faux derches en derviches tourneurs donnent le tournis, paradoxalement, eux, ne l'ont pas. Droits dans leurs bottes pour te botter en touche, car en sont encore au touche pipi, eu égard au peu de respect à l'endroit d'autrui. Tout à l'envers, même pas, c'est normal. Une époque de dégénérescence, de la vie collective, qui nous mènera, à encore pire. Comme le massacre de la planète, irrattrapable , il faudrait des générations pour inverser ces tendances, et l'on tend vers une dégénération accrue, plutôt. J'aime bien écrire en vieux con, mais j'ai quelques raisons, personnelles. La vie a ses raisons que la raison, vomit.

     

  • Argh !!!

    Grande surface du matin, doux parfum d'airain (j'en sors) : Vous avez vu le prix de la vache réformée; appelée bœuf par je ne sais quelle incongruité dite du « tous les mensonges sont permis le système où tu te complais, t'esbaudis et d'ébats qui nous arrange puisqu'on t'abat ABBA compris cet abat de la musique mais qu'importe si tes ébats sont satisfaisants, même pas !? », pour en revenir au début dite donc du bien profond en ton... toi. De la pisseuse de lait à la pisseuse de fric, guère réformée celle là. Quant aux poissons poisons même sauvages (pour libres d'entraves d'élevage, méditons), bourrés de saloperies on ne dit plus tarifs prohibitifs mais de prohibition, vu les prix ils sont braconnés ? Pas faux vu les prélèvements massacres. Si ça pousse les gens à moins manger de viande, ce qui dans les faits s'avère, mais pas dans les prix !? Et la loi de l'offre et de la demande dont ils nous rabâchent les oreilles, s'exprimant à des demeurés avec qui il faut faire simple (penser, comme ça c'est eux les chefs puisque seuls ils comprennent la complexité), de l'amande plutôt. Comme je le dis toujours, eux comprennent la vie, nous, pauvres cons, ne faisons que la vivre. Profundus ad vitaem, qu'on vous dit. Et puis, rien à voir, au pays des enculés, faut-il en devenir un soi même ? Pourquoi un, nécessairement au moins deux, puisqu'il ment. Du coup rien à voir, comme un doute. Voilà, c'était la petite rage du matin.

     

    Parce que bon... : La nuance, ouais, pas toujours, couche de merde sur couche de merde, français de merde, ne respectant pas même les préceptes de savoir vivre en commun de base, pouvant, et c'est un comble, être rassos. Ils diront, nationalistes, souverainistes, c'est pas à leur portée. En parlant de portée, que croyez-vous qu'il adviendra de la descendance ? Une couche de plus, en général. Si des scientifiques, dans le futur, prélèvent des carottes pour voir l'évolution du climat, social, ils ne retireront qu'un bâton merdeux, se liquéfiant au fil des ans, en remontant vers la surface. En mon temps, on disait « fini à la pisse », au point où on en est, je dirais, « fini à la chaude pisse ». Donc, pour une reprise (peut-être), ça commence pas finement, mais là, tout le monde comprend (sauf les concernés, alors que c'est nous, en deux mots).

     

    « Je n'en veux pas aux ignorants d'être ignorants, j'en veux aux « sachants » de polluer leur esprit et d'exacerber leur ignorance » : Sachant qu'il est plus facile d'être un con fier de l'être puisqu'il n'y a pas d'efforts à faire (c'est commode), les caresser dans le sens du poil revient à gaver une oie empoisonnée en pleine addiction caracolant devant l'entonnoir. 

     

    Ils coupent la ventilation dans un élevage de dindes atteintes de la grippe aviaire aux E.U qui meurent en souffrance pendant plus d'une demie-heure : A la "Dead seat", la série, ne peut-on utiliser cette méthode dans les télés-réalité, ils étouffent tellement nombre de jeunes (études à l'appui), de bons petits soldats dans le genre de la simplification de l'ortografe, aucun effort, pavaner, se complaire dans la frime, posséder la même langue cuite, passer son temps à renifler le cul du voisin pour combattre son ennui, dénigrer pour faire du fric, se placer, en somme(s), signe d'une vacuité d'esprit toujours plus envahissante, mais tout ça, c'est bon pour le commerce, car de moins en moins d'esprit critique (et ça ne passe pas sans effort), c'est moins de recul pour l'achat devenu compulsif. En ce moment, les cons, c'est l'overdose.

     

    D'un maître de conférences en sciences de l'information : « L'abrutissement organisé comme projet social, l'autoritarisme comme principal mode de gouvernance, et le cynisme comme principal mode de négociation ». Bienvenue. Et que les ouailles mettent bien le bulletin dans le tronc, même s'il sent le sapin.

     

    J'en viens, ça glisse au pays des couches sur couches, cf plus haut : Spéciale dédicace à tous et toutes ceux qui aiment « oh que oui grand Dieu si vous saviez c'est comme mon enfant » leur chien (ou chienne) le (la) laissant poser son étron sans ramasser allant il est vrai jusqu'au bout de leur logique signifiant ainsi leur haine de l'être humain mais une question se pose, au final, torchent-ils (ou torchaient-ils) leur(s) gosse(s) ? Ca expliquerait beaucoup, de manière freudienne, patauger dans sa merde, petit, n'est-ce pas les pousser, « grands », « adultes », à piéger enliser l'autre, dedans ?

     

    Au mitan du récit mité (à 38 ans?) : La valeur (ajoutée) n'attend point (de suture) le nombre, des damnés, de la terre, ventre à terre, au pot de fer, les vers du pot de terre jamais conviés aux pots-de-vin, alors que vains nullement, qui crée véritablement la richesse (ils parlent d'économie réelle, donc une économie irréelle, qui bafoue la vraie, et qui est, intouchable). Les profiteurs ? Aux profits tuteurs, les travailleurs, « l'élite » en titres de sueur (et de sang), les élytres en étui pour protéger leurs ailes, de ce qui leur en donne dans la vie, des ailes, avec tous ces étuis à fric planqué. Oui, avouons-le, même si on en parle plus, des caisses noires, l'argent fraudé sert aussi, à ça (butin de guerre, pour les lobbyistes). Le Macron macro (économie, ou maquereau ?) du Medef approuve des antennes.

     

    Et, pour finir, un « entendu » collant au niveau du jour : « Il se fait mener par le bout du nez, enfin, du nez, de la bite (donc du nez), mais il y en a combien des comme ça ? ». Au moins la bite, siège de terminaisons nerveuses, ce n'est pas qu'au bout. C'était la matinée mâtinée de bite, con, étron, mais revenir de courses et ayant marché dedans, comme une nausée, alors, sabre au clair (ou clerc ?).