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C'est comment qu'on freine - Page 3

  • Oh non de dieu !

    Faut pas se voiler la face : La farce. Pas nouveau, la fascination douteuse pour le mal, générations Scarface. Pas compris la dénonciation, tout comme pour « tueurs-nés », j'en ai entendus « ah que c'est super, les nouveaux Roméo et Juliette, ou Bonnie and Clyde », la critique dans tout ça, peau d'balle. Si la soumission est l'auxiliaire du mal, pour recrues ancillaires (dont les Angélique, marquises des granges), Daesh tombe à pic (c'est pas demain la veille pour l'éradication, par contre des veillées...). C'est le calendar pour les viandards, « auprès de mon arme, je vivais heureux », au pied de l'arbre, à palabres ? Non, aux misérables dialogues, liens sociaux en corde de chanvre. Vas-y fume, c'est du gland. Tout saint pour ça. A la recherche du temps à perdre, et à l'ombre des jeunes filles en sueur, abusées, larvée la déculturation laisse larves enkyster le tissu social, pour certains devenir papillon passera par son sacrifice. Le côté obscur de la non force.

    Compassion n'est pas raison, c'est la tension qui compte, paroles de poils drus. Les « dividendeurs sanibroyeurs » à la sanie sociale suppurent un avenir collectif obombré. Vertige de labour, de culs de basses fosses aux fausses œuvres, quand on y réfléchit un temps soit pute, c'est censé que l'insensé s'invite au banquet. Enfin, plutôt à la table de bois brut reléguée en arrière-cuisine, à la soupe à la grimace, si tu passes en salle c'est que tu sers les plats. Et encore, les damnés tannés de la Terre, en ce pays, face à tant d'autres ?! Mais regarder plus bas que soit, non, c'est entrer dans le diviser pour régner, c'est vers le haut que la réflexion doit se porter, le bas, c'est compassion et/ou trouille, donc rejet. Dans les hauts-fonds des bas-fonds, l'homme, surtout s'il est bien téléguidé, n'imaginera que monstres lucifériens (l'âne bâté gâté à l'esprit carié se tourne vers le vilipendé, entre relégués, se dit-il, un avenir. On verra dimanche). On vous a dit de regarder vers le haut !!! De toute façon le plafond, à l'ascenseur social privé, est en verre fumé. Calculer diriger contrôler, servir, se servir, asservir. Le temps passe, et rien, de bien, ne se passe. A l'inverse les gros richous vivent très bien les crises, ils s'en repaissent en les provoquant, pour une raison simple, quand t'as de la monnaie et que pour d'autres... T'achète à prix vils, donc, tu développes ton patrimoine, comme en bourse, et t'attends que ça remonte (ou tu revends à des étrangers friqués), ce qui te permet d'alimenter tes liquidités. Un exemple. Du purin sous les plaines, si les morts pourrissants pouvaient plus rapidement donner des énergies fossiles, je crois qu'il y aurait accélération du processus tueries, tout en conservant un cheptel suffisant pour que l'économie (le commerce) ne décline pas, pour ne pas empêcher cette belle mécanique. Beaucoup d'horlogers suisses.

    Le lumpenprolétariat pour les œufs de lump, et le Canigou dans l'caniveau. Il y a un taon pour tout, dans l'inventaire (pas à la Prévert) de l'ignorance, le parler ex cathedra déchire le réel, médiatique, ça sermonne, c'est le fil de l'anguille, d'actu sentencieux, autoritaire, les ouailles n'ont qu'à bien devant le tube entonnoir passivement s'imprégner pour le « perroquetage » du lendemain. Un esprit sain dans un corset, pub, l'esprit frigo va chercher sa bière (ou la pisser). Bon, il faut bien débattre. Mais comme un poinçon dans l'eau, l'onde, toujours suivant un même courant, court vers les chutes, vigilée en amont (et en anal) par les préposés au barrage bien endoctrinés (et oui, eux aussi). Le Dieu lare est do-lard, et pour le défendre, l'art de l'amalgame, une technique comme une autre. C'est le beurre et l'argent du leurre. Caviardons la vérité pour caviarder (encore les œufs ?! Snobisme, c'est cher pour ce que c'est). Ergoter sur rogatons ergots fichés, et ces assassins, c'est la cerise sur le radeau, les méduses urticantes, pissons-nous dessus, ça soulage. C'est la diagonale du flou, sans vergogne les pantins gigognes à sang laver les mains « karchérisent » les esprits depuis des lustres, pour leur lucre et leur lustre. Alors « vos gueules les mouettes, c'est marée crasse », par l'étang qui courre, assez de noyés, pour les lendemains qui « chancrent », en 2022, je vois bien le FN, vous me le Prométhée ?

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  • T'en veux du réchauffé !

    « Si dans une chaîne tu casses des maillons ne sois surpris si elle te revient dans la gueule  » Abouji Bal Am-Medja, 12eme siècle : Une pathologie au départ, ou un manque affectif, ou des problèmes dans l'enfance, ou un sentiment d'exclusion, ou on t'a piqué ta baballe, ou que sais-je ? Des proies. Daesh, une vaste entreprise de démolition tenue par des maffieux, aux stratégies avérées, dont club de rencontres maison de passes. La religion, un prétexte. Pas si sur, leurs activités financent leur obsession, régresser. Leurs tueurs ressemblent aux S.A d'Hitler, c'est pratique, ils s'éliminent tout seul. Hitler, qui fut à la tête d'une vaste organisation de voyous (ah, le bon temps du pillage), des exactions, bon, mieux éduqués quand même, la télé réalité et autres cochonneries pour nazes n'existaient pas. Fallait bien lire (un peu, quand même) et respecter la transmission du savoir instillé par les profs. Mais ils basculèrent, suivant un psychopathe, et brûlèrent les livres. Ce besoin de servitude volontaire, ne pas penser par soi même, le rêve, l'exaltation par la démission de soi vers... qu'importe, « des ordres, des ordres. » Désordre. Ordre sans conscience n'est que ruines de larmes, d'âmes, mais pas de lames. Le manichéisme sauveur. Ils attaquèrent une « zone grise », zone de coexistence entre musulmans et non-musulmans. Détruire une jeunesse tolérante, éduquée, la seule visée, détruire l'intelligence, tel est leur but. En France (comme ailleurs, sûrement), persécutions, harcèlement, racket avant tout dirigés vers les bons élèves. Le reflet d'une époque. Ca à toujours été, mais pas en ces proportions.

    Des psychopathes illettrés (bla-bla-bla, des cons dangereux, mais pas seulement, et pas tous abrutis, de surcroît) faciles à endoctriner, en les habillant des oripeaux de la religion, il y en a plein les prisons. Etant guère reconnus par leurs coreligionnaires sur le théâtre des opérations guerrières pour nombre venus de l'étranger, suivre des plans destructeurs amène crédibilité et houris. Servir la cause, jusqu'au sacrifice, la fierté. Donner un sens à sa vie par sa mort. La risquer, mais la rechercher ? Ces « soldats » fous de Dieu trouvent une cause pour se transcender, en cendres. Des imams sincères dans leur foi devenue destructrice, il y en a , la foi devenue folle. Alors, passer par la « déradicalisation ? » Ca fait dératisation. En attendant d'autres attentats risquent se survenir, plus ciblés ? Tuer tous azimuts, à l'aveugle, et même des musulmans (mais des mauvais, puisque en lieux de mauvaise vie), certains devaient boire du thé. Cela risque de les desservir, car au lieu, et c'est leur but, de faire monter « l'islamophobie », ça ressert plutôt les liens.

    Ils rejoignent l'extrême-droite, sont alliés, indirectement, puisqu'ils parlent « d'Antéchrist coranique », et avec des exactions de ce calibre, de l'islamisation de l'Europe (et donc, d'une « cinquième colonne ») ancrée pour la dissolution de l'Occident. Donc défendre les racines judéo-chrétiennes et européennes face aux propagandistes gauchistes et multiculturalistes, il y en a beaucoup à mon sens parmi les morts de Paris. Une même vision du monde, « chacun chez soi », mais l'extrême droite ne souhaite pas créer un national-socialisme mondial. Ah, on me dit dans l'oreillette de relire mes cours sur la seconde guerre mondiale.

    J'ai lu des centaines de commentaires, surtout pour une vidéo des Guignols, ça part dans tous les sens, même les juifs se sont invités (bien malgré eux) à la foire d'empoigne. Pas d'apologie des tueries (ou deux trois commentaires d'illettrés, le langage SMS avec des fautes, je crois que c'est le seul qu'ils connaissent, ça doit pas être facile pour lire le Coran), perpétrées par des kamikazes, mais non, ce ne sont pas des japonais ces tueurs, nous les appellerons donc par leur vrai nom, des assassins. C'est terrifiant la flopée de tas de merde de fils de pute et autres bâtards de chiens galeux suceurs de bite qu'ils se prennent dans le cul gratté au préalable au papier de verre et tout ça en mangeant leurs morts (ce qui en soit paraît inconcevable, on peut pas tout faire d'un coup) etc. !!!? J'ai du trop en lire. Espérons qu'il y ait des trolls fafs là-dessous, mais je ne crois pas (de ce que j'ai lu).

    Sinon, pas de marche en parallèle avec la COP 21, mais le marché de noël sera bien ouvert. Quel symbole. Et si ces djihadistes étaient sans le savoir en mission commandée pour les maffieux du pétrole, que surtout rien ne bouge ? Si c'est ça à mon avis sur les vierges aussi ils se sont faits entuber. Attaquer des « zones grises » et se griser pour défendre l'or noir ? En tout cas terroristes et vrais richous ont un point commun, en dehors du fait qu'ils ne risquent pas de se rencontrer, c'est qu'ils ne connaissent pas les (de) frontières.

  • Rasades.

    Entendu : « A la campagne, on est tranquille » ? Bah oui, pas de jeunes radicalisés et de kalaches à la campagne, les gens sont contre.

    « ...tout fonctionnaire qui acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit d'en donner avis sans délai au procureur de la République » : Le fonctionnaire a obligation d'être un lanceur d'alerte, le citoyen est poursuivi. Kesako ? C'est que du coup c'est moins facile à étouffer.

    La stridulation du grillon favorise t-elle l'achat compulsif : Je dis ça, en mon Carrefour, il n'y en a qu'un (?) planqué dans le toit, et il fait un boucan. Une enceinte ?

    « Les sucettes à l'anis d'Annie », de Gainsbourg : Sont une belle litanie, mais souvent ce qu'il faut avaler de couleuvres pour voir son orvet castré (anaconda dans le sud), normalement elles ne sont pas venimeuses, enfin, dans la nature.

    Entendu : « Ils nous parlent comme à des enfants. » Non, les enfants c'est les enfants, comme à des demeurés puisqu'en demeures ils leurrent.

    « Tous ensemble tous ensemble, yei, yei » : Dans une société où entuber son prochain et faire le plus de fric possible sur son râble est devenu sport national ? Marrant. Tous ensemble en cas de drame, après, le quotidien reprend « ses droits ». En système de société où les pauvres (on dit économiquement faibles, en bon faux-cul manipulateur) s'appauvrissent et grands richesses ne cessent de se goinfrer, la réalité reprend ses doigts, et brandit de nouveau, le même.

    Souvenez-vous : « L'écologie, ça commence à bien faire », de Sarkozy, c'est sur, avec son mode de vie.

    « Le suicide, c'est quand on s'en veut, moi, personnellement, je ne m'en veux pas » Desproges, de tête : Mais les « je mens » et « veux pas », que tu le veuilles ou non pas à pas à te grignoter l'espace mental, inconnu de leur moi donc tu ne mérites que risée, ces trous duc, petits roitelets d'une terre en friche, bon, on va où là ? Y avait-il un sous-entendu chez Desproges ? Il vaut mieux suicider les autres ? A se concentrer sur des cons centrés, là, à petit feu, c'est ce qu'on fait. C'est qu'ils prennent de l'espace, ces envahisseurs, souvent ils tournent en rond, à vide, les plus avides, fréquemment, paradoxalement. Pas sur.

    La guerre sale s'étend : Pas la guerre propre ? De plus en plus de gens sales, dans leurs têtes.