Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

C'est comment qu'on freine - Page 28

  • Ca des ménages

    C'est la Valls à mille taons: En tirant le diable par le creux, à la recherche du temps superflu, j'écoutai la composition du nouveau gouvernement. D'un coup linceul ils changent de braquet. J'rigole. Un gouvernement ramassé pour des gamellés, en 17 décidément une année shrapnels. On nous gâche tout on nous dit rien, plus on s'informe plus on ne sent rien. Je la sens bien cette division panzérisée de katas combles bas. Le PS et le parti écologique se sabordent-ils? Sarko, c'est pas un boulevard, un autoroute, bon, c'est normal, il les a privatisés à des potes gras du biftons. Allez, c'est reparti pour les fameux six mois siamois, et on en r'cause.

    Deux citations trouvées sur un site twitter (@AnthonyNourry). "Rien n'est plus commun que gens qui conseillent, rien de plus rare que ceux qui secourent", Voltaire. C'était quoi son premier boulot à Valls en politique? "Les socialistes, derniers inventeurs des pensées bourgeoises, seront promptement les meilleurs maîtres des nuances", Paul Nizan. Les anses, je ne sais, mais on sait qui sera (est) nu.

    Coincé entre le marteau et l'enclume, entre. La gauche (PS) d'accompagnement, le caniche pote du doberman? C'est le boeuf et le crapaud, je le sens bien exploser en vol. En même temps, s'ils ont été élevés dans la même mare, deux crapauds qui nous prennent pour des boeufs. Ca va puer du bec mais c'est le renard qui a le coulant en gueule, le corbeau est aux rotatives pour les fables. Dommage que le principe de précaution ne puisse s'appliquer.

    Une évolution normale, l'inverse m'eût étonné, elle aurait détonné, et chantourné le chant détourné, profil bas hors-champ, tourner casaque et cravacher? Ils ne peuvent, l'enclume, le marteau, et nous (heureusement pas tous, diable) au centre au billot. D'ailleurs seules deux têtes sont tombées, et soyons en sûr pas bien loin.     

    "Ta race, fils de pute, sale bâtard, enculé, mange tes morts, etc.": Florilège fleuri fleurant bon le fleuret flirtant le filage, au firmament de la fosse.

    Evide dense: En ce monde prédatorien, sensibilité est souvent considérée comme sensiblerie, faiblesse. Faits blessent.

    Twitter: Une niche? De belles portées.

    Le cercle des poètes encerclés: Au printemps des poètes, l'ère glaciaire jamais lasse laisse un répit elle est si repue.

    Des spots publicitaires: Despotes.

    Clique pharisienne, non, parisienne, journalistique: Donne le la, pour nombre le las.

    M le mot dit: Aime.

    Pub: A quand l'eau bio en bouteille?

    Révolution: Les jeunes n'auraient plus d'illusions, plus envie de changer le monde, en Europe, c'est triste. Nous restent les virus.

    "Leur couple part à vau-l'eau, elle désirait un géniteur, pas un mari": A veau lot.

    Empreintes: "Alors, on se balade", le lendemain de ton passage, un crime, des gants, tu n'as pas d'alibi. Le carbone 14 pour les empreintes de la veille, ça marche? Quant à l'ADN, eh, crache pas pisse pas fume pas etc.

    Parthénogenèse: "Reproduction sans fécondation, dans une espèce sexuée" au salon de l'auto.

  • Indiscrétion

    Terre meuble

    Gamine au corps en mimes
    Coeurs de mines
    Ma fée aux abois
    Croise ses doigts
    Ses yeux fracturés
    Enlisent mon âme
    Eclats en partance
    Suivent ma transhumance
    Elle me balance
    Au gré de ses plaies
    Et chahute en moi, serrés
    Mes plus beaux entre-mais
    Plus beaux antres-filaient
    Elle m'ouvre.

    Belle nuit

    L'amour est venu m'inspirer, m'intimider, elle m'a pris par surprise, je jouais la belle prise. Pour ses beaux yeux doux et francs, j'étais devenu enfant. Son sourire lumineux grisait mon coeur peureux, la blancheur de ses quenottes sut réveiller mes menottes, elles ne tardèrent pas à glisser sur l'aimée. La belle se laissa faire sans me mettre aux fers, elle y pris vifs plaisirs et beaux sourires.

    Quand nos bouches se trouvèrent je flottais dans l'éther mais je n'oubliais pas pour autant de défaire son vêtement. De beaux seins doux m'accueillir, je ne tardais pas à les baiser, tout enivrer, bientôt tout son corps tressaillit, j'étais cuit. Nos caresses intimes surent nous mettre en rimes, la jouissance vint s'accorder à notre aisance.

    Nous fîmes l'amour des heures, avec notre coeur, j'en aurais bien repris un peu, on peut-être assez pieu mais la belle avait tout donné, elle était fatiguée. Nous nous endor-miment, heureux, sur les cimes.

    Le lendemain, nos yeux trahissaient nos jeux de lait mais ça ne nous empêcha pas de remettre ça, on ne laisse pas vieillir de si beaux aveux, gorgés d'une telle myrrhe.

  • Le redressement

    Enfin: Valls à Matignon, un libéral, lui fera sans desserrer les dents les 25 milliards d'économies sur les 50 prévues sur les prestations sociales. Hollande dans sa logique DSKienne (sûrement conseiller occulte) assume, notons que ces municipales sont une victoire de la droite, juste retour aux fondamentaux. La France est de droite, qu'importe les bobios de Paris, et autres, les pauvres votent d'ailleurs en masse pour ce courant. En surnombre, ils étouffent notre économie, mais avec leur intelligence naturelle, ce bon sens, ils ont choisi le camp de l'avenir. Nous encourageons la paresse, l'inactivité, plus de 400 000 emplois ne sont occupés, qui par ricochets entraîneraient une reprise de la consommation, de l'activité, donc de nouveaux emplois, CQFD. Il faut casser cet esprit canapé affalé devant la télé, n'en déplaise à certains actionnaires bien connus de notre rédaction, mais l'heure est grave.

    La théorie du ruissellement n'a jamais été aussi probante, redonner du pouvoir d'achat aux plus aisés ne peut qu'aider notre économie à redémarrer, nous pouvons compter sur eux pour le patriotisme économique salvateur, ce système confiscatoire fiscaliste (on a beau être entouré des meilleurs fiscalistes) gangrène le système, c'est une nasse. Certains esprits chagrins claironneront que l'argent des possédants (qui n'est pas un gros mot, et certainement pas le pendant de possédés, un raccourci délétère) est surtout utilisé pour des produits étrangers (ou à l'étranger). C'est faux, ils vivent, habitent en cette nation, ils ne prennent pas l'avion pour les courses de la semaine, ou ne demandent à un artisan roumain de réparer la plomberie.

    C'est un devoir moral évident de défendre notre élite économique, eux seuls peuvent investir dans les entreprises, en lancer de nouvelles, faire redémarrer la croissance. Les investissements d'aujourd'hui sont les emplois de demain. Certains esprits touchés par le sida mental (cher à Pauwels) de l'illogisme et de la contestation envieuse permanente me diront "mais qui pourra acheter?", c'est une fois de plus mal comprendre l'économie puisque si on se réfère au cité plus haut la croissance est repartie, certes pas sur des chapeaux de roue, mais il faut, comme pour une voiture, l'étincelle pour la lancer, le capital est la batterie de notre habitacle commun. Pour finir si Hollande maintient le cap, et Valls l'y aidera, l'éclaircie est au bout de la route, et cette fameuse voiture (française, évidemment) une fois repartie ne calera plus.

    (Pourquoi diable écrire comme dans "Valeurs Actuelles" seulement le 1er avril, enfin, essayer, pas entraîné).