Le rapport Krüger (pour Kriegel)

Oublié.

Les griffes de la nuit, je les vois quand elles déchirent notre tissu de communautés sociales, pas à la télé, enfin, nous bombarder de divertissements ineptes, n'est-ce pas une façon de nous couper, nous déchirer, les uns les autres des autres, mais bon, on ne les force pas à regarder. Les griffes de la nuit ne déchirent pas toujours le rideau de douche, on peut aussi tout simplement l'écarter avant d'être écartelé, et comme dans "Phantom of Paradise", se prendre un gros déboucheur à chiottes dans la gueule. Pauvre bonde, non, pas James, mais le siphon à cheveux gras et vieux poils, et ce qu'il reste du bain trop tiède endormant, détendant chez les faux-culs. La télé, son principale problème, les gens croisés dans la rue finissent par te paraître aussi anecdo-tiques que dans la boîte à placebo. Les griffes nuisent.

Mise au foin

11% de la population mondiale détiendraient 86% de la richesse mondiale et en consommeraient 88%. Les enculés d'en face sont donc 89% et consomment 12%. Ce qu'il y a de bien avec les pauvres, c'est leur humilité naturelle, heureusement pour eux, les possédants s'en rendent compte et ont décidé de les aider. Certains commerçants de "L'inter-mondialisation" vont au contact, c'est comme l'écologie, si c'est à la mode, ça rapporte, ouvrons des perspectives, biaisées, pour mieux les baiser, mais on nique utile, on se protège.

Halte au feu

En son temps, Jean Paul II mendia à Giscard une base chrétienne au projet européen. L'Europe est une histoire sérieuse, entre hommes, femmes, il y a des heures de récré pour jouer à collin-maillard (existe, existe pas, je compte jusqu'à...), c'est du domaine de la sphère privée. Un homme qu'on lange voudrait (comme souvent) nous dire dans quelle direction pisser.