Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Glosaire

Le glossaire des gloteux verbeux, récitant le rosaire d'une novlangue de communicant riche en images creuses, matraquées, elles laissent pantois, c'est l'anesthésie. Elles font sens par la force de l'habitude, tu peux aller "siffler la haut sur la colline avec ton petit bouquet d'églantines", tu t'es fait avoir, c'est pas une raison pour emmerder les chèvres parce que t'en est une, mouton, et ne le dessine pas, si le temps te décille, tu croqueras, ad vietam, une ménate.

Ce tsunami, trop grand pour nous, nous pétrifie, statues de sel aux larmes de cire, mais qui cachette? C'est l'effroi. Eh non, une vague de merde, collante, engluante (en ce moment on a le clapotis UMP), ressac médiatique. Cette prétrification n'est qu'en bourbe ment dans les marais scrofuleux de la bourgeoisie arachnoïde tisseuse de filets dérivants invisibles pour qui ne sait (ou a choisi) de ne pas les voir.

Penser, est-ce réfléchir? Comme un miroir, sans teint, ou halé, le bon coté du coté obscur. Par quelle alchimie machiavélique tu te renvoies leur image (pas la leur, rêveur, celle qu'ils veulent te voir te greffer). T'es tout toi en grimé.

Les commentaires sont fermés.