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Hurler avec les loutres

 

« Les lois sont comme des toiles d’araignées car si une petite chose insignifiante et sa défense tombent dedans, elles la retiennent bien, mais si une chose de quelque importance tombe dedans, elle brise le filet et s’échappe. » Anastase (environ 600 ans avant notre ère).

« La loi et l’ordre sont toujours et partout la loi et l’ordre qui protègent la hiérarchie établie. » Herbert Marcuse.

Droite la plus bête du monde ? Au Gévaudan, cela dura trois ans, une certaine logique puisque cela nous amènerait en 2016, des études démontrant (leurs communicants le savent, d’où buzz, agitation, « fabrique de l’insignifiant », anecdotes, attaques personnelles, faire douter, donc salir, occuper le terrain des « grandes manœuvres mannes à l’œuvre » etc.) que la mémoire collective dure six mois. Donc noyer dans une pléthore « d’informations » elle-même noyée par un tsunami d’omissions. Les quatre piliers du temple (de ces marchands), pas vu pas pris, tant que je gagne je joue, la meilleure défense c’est l’attaque, diviser pour régner. Le toit balayé par les vents contraires de la manipulation est en verre (avec plafond).

Pur illogisme, le juge d’instruction doit prouver sa non-culpabilité, étonnant non ? Accentuer les violations de l’instruction, eux qui ne cessent de les dénoncer (en toute logique)? Oui, que ces juges amènent en pâture les preuves de leur culpabilité, haro sur ces empêcheurs de faire tourner la roue de la fortune tirée par des ânes en rond, méthode chère à son ami Berlusconi, grand manipulateur  de médias inféodés si prompts à défendre le blabla castrateur (bah oui, si t’as mal au corpus callorum, tu ne penses pas  tu te laisses mariner dans un trop-plein creux).

Ils dénoncent même les agissements policiers pendant la manif des citrons figés givrés, et la loi et l’ordre alors, à girouette variable ? Comme toujours. Décidément, il n’y a plus de cap, mais dans une organisation si amèrement obnubilée par le « tout pour le fric », qu’attendre. Des banques prospèrent grâce à la crise et aux « dividendes » publiques, engendrée par ces mêmes établissements. Nous savons en plus que la troïka a main basse (en un mot vos gueules les mouettes, c’est marée crasse) sur les comptes, puisqu’elle opéra dans l’ombre, à mon avis, ce fut un test. Alors déposant, gare à tes noisettes, les créanciers ont plus de valeur. On ne prête qu’aux riches, à leurs niches, fiscales, les niches et colliers étrangleurs se vendent bien, et le marché est en pleine expansion.

Cet  « abus de faiblesse », sur Mme Bettencourt par Mr Sarkozy, je crois surtout que ce n’est qu’une « tradition » depuis des décades, il n’y a pas que la France Afrique, ou en serait-ce la cause si cela est avéré, mais relisons Anastase. Ca sent le pshiiit, avec un bon coup de pub pour son grand retour, lui qui se posa en homme providentiel à peine congédié, l’homme qui tombe à pic n’a guère de mouron à se faire, puisque la justice avance les yeux bandés, pas étonnant qu’elle se casse la gueule dans le labyrinthe de paons, ont-ils volé le pipeau de Pan ?         

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