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Fa berger (pêle mêle).

 

Misère et mal-être en sociétés d’opulence, opus 666 dans l’œuvre barbare cannibale mais châtiée (politiquement correct, paravents, ronronnements, fait ton rôt et ment, bien rond le rôt, cul de poule pour ta basse-cour, la bonne parole propagée par ses bonnes, à la partouze néolibérale en petite tenue habillée, participent), indifférence en somme(s), ce sont les protégés qui en parlent le mieux.

Ne pas toucher à la « liberté de consommer », le con sonné sommé d’obéir aux injonctions, sommations soma pour leurs saunas en sommes bien sonnées, quelques soient les dégâts humains, écologiques, intellectuels. Consumer. Une atteinte. Dans une société de « croissance » sans croissance, croire en ses sens, plutôt que croîs (et crois) en leur sens, abonde (ou lève ta bonde) et pour longtemps, les croissants du matin ont un goût de moisi, celui de l’austérité. Reste la politique de la relance, pour un mythe de la croissance, faisant écho au mythe du progrès, hypnotiseur. Véritable addiction quasi religieuse, dicte sa loi au jeu de l’oie alléluia pour le gavage, mais où sont les œufs, de l’oie, non, Fabergé, le poisson fa nous donne une partition inaudible.

Dogme néolibéral et dictature des marchés financiers, les forces dominantes n’acceptant pas (que rien ne bouge, ou imperceptiblement)  de remise en cause, c’est renoncer à leurs gigantesques privilèges. Addiction au supra consumérisme ; entre soi, Kant à soi, draps de soie ; et vivre heureux, cachés, loin de la triviale réalité de manants parfois maniérés, un comble. Lutte des classes et guerre économique, mondialisation ultralibérale et financiarisation de l’économie, le crapaud se fait bœuf mais n’explose pas, les crapauds buffles, fiel et poison aux commissures se délectent et se payent sur la bête.  

En 18 ans, la viande de bœuf payée 8% de moins à l’exploitant au kilo, dans le même temps est vendue au consommateur 50% plus chère, simple exemple. Sommes-nous  devenus des  poulets de batteries pour hangars attractifs, pleins de couleurs, d’envies publicitaires, grandes surfaces à la surface des choses, « chosification humaine ». Drôle de logique. Autre exemple, des agro carburants sur terres de miséreux, appropriations  expropriations de terres érables, rouler pour mieux affamer, « mais non, cela leur permettra de se développer », éternel antienne au bec pipeau capitalo face phase terminale, s’encrasse, trop de crasses.

Blabla, comme l’UMP et sa copie FN d’inversion des valeurs, propaganda, technique du gant de crin retourné, noyer le poisson poison infecté aux métaux lourds. Les écouter sans y penser, une prostitution libre ou/et forcée? Un délit de racolage, et alors, la pub, quel plus bel exemple. Le client caracole est racolé, des montées en rêve (en sève) commerciales, de la boite de raviolis à la berline. Grotesque. Sans parler du yaourt panard jouissif dégusté avec des œufs chinois en interne.

Et ce retour d’une possible interdiction de la prostitution, qui ne doit pas être un service comme un autre, en système marchand  gangréné? Bon, à décharge (oh le mauvais jeu de mot), l’acte tarifé est en forte baisse, monétairement parlant, crise s’entend, sauf dans la haute, mais ça, c’est pour tout, puisqu’ils ne cessent d’engranger, donc, après l’indice Mac Do, l’indice prostitution (moins bétail).  

Mais ils devront également interdire la pornographie, non. C’est vrai, sale milieu, des gens prêts  à se vendre pour de l’argent, mais n’est-ce pas trop souvent un quotidien bien partagé, pas comme les richesses. Et s’il y avait plus de consentement dans la marchandisation du sexe que dans le monde du travail plus, « orthodoxe? » Pas très bon pour le gavage cette supposition. Poisson d’havre ivre.      

 

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