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Tiens, un truc bizarre au début du pèle-mèle.

Stricto sangsue : Le sang sue stricte à l’ouvrage l’ouvre large pour du lard à l’âge cannes au pique-nique le rosé frais enivre le canonique ouvrage si bien étayé qu’il faudrait être fou pour que ça se voit plus, et pourtant, portants portés par porteurs de chaises percées, aux hémorroïdes gercées, bien endigués, étagés, en quel étage j’erre, demande à « Brazil », à l’équerre, l’équestre sauteur d’obstacles, steaple chaises au vidéodrome mate « On achève bien les chevaux » dansant jusqu’à l’épuisement sur la danse des maux formolés en mots émollients répétés calculés dirigés bien digérés et que vers de terre oxygènent bien une terre meuble sans devenir termites car d’or dort le fond de veau à vau-l’eau l’eau occis gênée chargée de métaux lourds mais tôt lourds lendemains si prise de cons science infusent diffusent de vrais fausses valeurs encore et en cors au dormeur du Val leurre toujours le dernier bidule s’il fait un bide c’est pas la fête à Dudule son emploi hypothéqué hypo hypo t’es qui en kéké baladé mets ton baladeur (ou MP rois) écoute logorrhée manufacturée manucure fracturée en gaze de schisme pour plaies ouvertes, contrat sauce sciale faciale lames larmes de crocos fausses idylles, chaises élec triques. Stricto censure. Sang sur. 

 

Le courage des élus : Et leur court âge ? Peut-être ça le problème.

 

Evolutionnisme : Du « si j’avais su, j’aurais pas v’nu » au « j’m’en bas les couilles, bâtard, fils de pute. » ? Douce France, cher pays de mon enfonce. 

 

Sacerdoce : Ca sert d’os ?

 

Ouvrir pour mieux fermer : Tech. dite du compas isocèle icelle il selle jument j’hume ment. Corral au corail desséché, la jument verte verdoie poudroie au firmament en firmes manants.     

 

Poissons surgelés surnagent : Aux coins carrés les bas morceaux (sans as).

 

D’une pierre deux couches, deux louches plutôt louches : Potage.

 

Bourré dans un village, de longue, à la longe : Longeons longes fouet en langues de pute, cancans caca coin-coin, « Au bon coin », café du « come » herse, ça radote sur en langues crottées, au moins ils sont leur propre mac.

 

En vieillissant, la connerie se bonifie : En se fossilisant ? En ère glacire la porter en bandoulière, a fait fuir les normes aux en coulent heurts, hauts funambules ne méritant pas les pieux pointés bas en pièges grossiers, chasseurs « Délivrance » des livres rances pages jaunies j’honnis. 

 

Les momies dancer : Frimer sans suer (trop cher les fringues), se trémousser comme dans les clips vidéo toc en gestes lascifs dignes des boites à entraineuses, attirer le regard. Carrousel de poissons clowns au féminin, au moins nettoyez les parois.

 

Moi, public, banc publique : « Normalement, les pigeons sont en bas et mangent les miettes, qu’est-ce qu’on fout sur le banc ? – Non, ban, mais là c’est pour le divorce, une variante. »

 

Eraflure pour une enflure : Les escrocs rebondissent, les « sorties de route » ne sont que des accrocs, à crocs en es crocs, déjà sur une nouvelle victime, puisque seul leur petite personne compte. Vous feront toujours croire le contraire, une technique, s’ils s’immiscent, ce n’est que pour apprendre à mieux manipuler, éponge observatrice tournée vers le mimétisme pour parfaire leur jeu de rôle. Grands apôtres « involontaires ? » du capitalisme outrancier, bien dans leur époque.

 

Ne pas mettre la charité avant les bœufs : Ils vont l’encorner.

 

Comment se fesse : Serrées.

 

Spores addictes et sporadiques : Champignons bouseux.

 

J'ai faim, de G20 : Frais de bouche à la hauteur des chaises percées (c’est une image).

 

Au bonheur des drames : Kyrielle de faits divers aux journaux de France Inter, j’en connais d’autres qui écoutent, un vrai raz le bol, alors pourquoi ? Val a trop visité Font en taule.

 

Un gosse ça s'dresse pas, ça s'éduque : C’est duc rarement.

 

Les lettres (de change) de mon moulin : Et on s’étonne qu’ils spéculent sur les matières de première nécessité, le meunier roule en Porsche, dans quel monde Vuitton ?

 

L'argent mène le monde : En le détruisant, donc mène sa barque, en la coulant, il n’y a que le vendeur de quille qui s’en sorte, il donne le cap en faisant preuve de diligence, une diligence dans une barque, évidement qu’on aille au fond.

 

La meilleure défonce c'est la clique : L’entre soi, à l’entresol de l’antre, entre. « T’as tes papiers. »

 

Ce n'est qu'un rébus : Continuons le tombale.

 

A la salle des pas perdus : Des pains perdus y entraînent, pour d’autres, ce sont d’autres pains envisagés, pas même perdus, ils ne mangent que de la brioche.

 

En odeur de saintetététélé : T’es laid, bois ton p’tit lait, à « la ferme » des animaux, eux ne l’ouvrent pas pour rien, d’ailleurs, puisque cette « émission » me revient en mémoire (quel dépotoir), avaient-ils prévu une cellule psychologique pour nos amis les bêtes, les vrais ?

 

Voici venu le temps des rires et des chiants : On rit moins, on ricane plus, espèce de tic nerveux obligé, de plus en plus faux-cul cette société, même le rire n’est plus ce qu’il était. Fallait pas lire Bergson, son livre, « le rire », même pas on ricane.

 

Ca me porte pêne: Ferrures et serrures, se gâchent.

 

Serpillateurs et épurateurs : Toujours deux métiers priser, ne pas se faire rattraper par-lui, car prédateurs et dépeceurs, s’ils font dans la dentelle, c’est en offrant des dessous coquins à leurs bagatelles (et bague à untelle, pour l’image).

 

« On fabrique, on vend, on se paie », aventure Lipp (1973) : Et pas sur la bête et ses bêtes. 569 milliards d’euros d’aides consenties par l’Etat aux banques au plus fort de la « crise. » Lippus les aspirateurs à deniers étatiques, « l’argent appelle l’argent », même quand il est perdu, étonnant, non !

 

Le fada fidèle au fado du Fido : Se mithridatise, puis de renoncement en procrastination, finit la gueule dans sa pâté en bouffant des chips devant sa télé, boucle bouclée, le bout clef attaché à une poutre, se balancera sans penser à l’encensoir, pas même un « au revoir », mais aura pris soin de laisser la télé allumer, qu’elle l’accompagne jusqu’au bout, du bout du bout, amarré à une bite verticale, guère efficace, mais quitte à s’faire enfler.

 

Les passerelles loin des planches pourries : Ne sont que ponts trop souvent déjà mités, planches pourries savent souvent soigner le vernis (rien à voir avec l’apparence), mais le pourri les accompagne.   

 

Souricière mentale et sourcière : Bâton merdeux.

 

Sac à vain : Mais de marque, et Tigne.

 

Ivresse du je : La loi du talon.

 

Biaiser plus : Pour baiser plus, loi du commerce.

 

S'hypocriser : S’écouter penser comme d’autres veulent nous voir panser, in fine, entrer en crise, d’un côté comme de l’autre, mais de trop voir ça à son aune, on finit âne, il n’empêche, avant le « d’un coup linceul », du perso, sinon perd sot.

 

Chansonnette: Trop souvent chant à sornettes.

 

Nécessité fait l'oie : Bienvenu en ton parcours plateau télé au jeu de loi du retour fatigue du boulot puis un film de « divertissement » et dodo demain sera une nouvelle page non lue. Trop souvent la seule page à lire, celle de la fin de moi(s), ça abrutit (quand ce n’est que physique). Remarque, d’autres boulots à la fatigue psychologique non physique te ouate bien la tête aussi, tout aussi con devant ton bouquin qui te glisse des mains le soir venu.

Ce que le capital doit aux écrans, de l’écran total pour ne pas se cramer au doux soleil en fusion du consumérisme et de sa lente consumation. Matérialisme, quand tu nous teins, l’on déteint, les uns sur les autres, palette criarde pour palettes de hangar désaffectés, une désaffection gagnerait, à pas menus, si elle n’est que subie ? Et si la crise aidait à cela ? Dans crise, il y a cires, un mélange bien casse gueule pour savonner des modes de vie trop absurdes ? Dans absurde, il y a « bad » ruse, à qui profite vraiment le crime ? Dans crime, il y a rimec (c’est remake en bon français), mais dans quelle ligne de mire sommes-nous ? Dans mire, il y a rime, mais qui prend son pied dans cette pantalonnade ? Dans pantalonnade, il y a panne de talon, coup de pied dans le cul ouais. Dans coup de pied dans le cul, il y a, un séant, et dans séant, il y a santé, et pour garder la sienne, mentalement, il faut changer modes de consommation, de production, donc de pensées. Et dans pensées, il y a, un pense-bête tellement raturé qu’il en devient illisible, palimpseste vérolé.

Allez, une bonne palingénésie (ça calme) pour tout le monde, un suppo, deux paters (pour accrocher de vieilles frusques frustres de frustrés), et au lit, demain, il y a boulot, et on est loin de la fin du mois.

Oh rage, oh dépotoir, agir en son drame et conscience, puisque une fois n'est pas costume (mets le quand même, quoique celui là, mais bon l'égout et les couleuvres, d’ailleurs méfies-toi, de postures en imposture, les murs ont des oeillères , et des ornières), les tenants et abrutissants en cette quadrature fractale du cercle ovale nous font tourner en rond dans une rue droite, mais a nul, autre, pareil, il n’y a pas que des métiers subis, des crédits oui, mais sans, que serait l’homo sapiens-sapiens, un créationniste ? Dans créationniste, il y a sioniste, est-ce lié ? Sinon il y a ton crétin saie, oui oui, avé la fôte, m’en fous, plein d’autres, master SMS, ou Sacré Mélasse Subséquente. Ah, le déluge, de feue ? L’avenir nous le rira.      

 

 

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