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Ah bah si c'est ça!

Jalabert, un shooté malgré soi, ouvre le bal du centième tour de France, ouvrant l’éternelle même page, tout comme Tapie, et consorts, con de sort, c’est dopage au fric à tous les étages étalages. Ils s’en passeraient bien, mais la vie médiatique n’est pas un long fleuve tranquille.

Patent et pas tant, mais partant pour la roue de la fortune face à l’infortune, roue de roués paons?  Des yeux plein la queue pour hypnotiser et foutre la trouille, yeux de la justice, du législatif et judiciaire. Garder à distance, c’est dis tance.

Et ce cumul des mandales, aux oubliettes? En soi sous certaines conditions pourquoi pas, mais en cumul de salaires moins forts, car n’est-ce pas déprécier le travail que de ne pas être à fond dans un seul? Quand nombre ont les jetons certains prennent trop de jetons, au casino du cumul citons le sénateur-maire PS de Strasbourg, Roland Ries, une liste exhaustive trop rébarbative, la lessiveuse lave plus blanc que trouble.  

Hauts fonctionnaires en famille (déjà proches, mais divergences sur affaires), autocratie trop prégnante et prenante, à tous les étages, organisation de la cooptation, d’ascenseurs en retour d’ascenseurs ; qui va à l’échafaud avant échauffourées; le tournis, le vertige, donc un autre renvoi, comme une mauvaise cuite, sale gueule de bois, chevaux de bois en manège désenchanté, qui tient la queue de Mickey?

Accaparer, faire fructifier, spéculer, dans la boite à souffleurs parangons de vertu en bulle caste, savent que des français souffrent, d’ailleurs ils en font partie (qui en douterait, des cyniques ?) de toute leur âme, fibre, ils sont avec nous, ont une telle capacité d’empathie, de transfert, pièce de théâtre  politique, une représentation, spectateurs d’une pièce qui ne représentent que ses acteurs, au moins ils ont de l’imagination pour imaginer telle farce. Molière honoré.      

Caste qui castre, ils ne vivent qu’entre eux, professionnels de la politique, donc transparence de sa vie financière à souhaiter, mais illusoire? Ces histoires de patrimoine, pourquoi ce lever de bouclier ? Je crois qu’ils n’aiment pas trop que le « peuple » se rende un peu trop compte que tout cela n’est qu’avant tout histoires de famille, autocratie déguisée, le piédestal en pieds des stalles, un risque ? Feront-ils plus de liquide ?

Reflet de notre société civile, collective, avoir les dirigeants qu’on mérite ? Doivent-ils être au-dessus de notre mentalité collective ?  (Bah, sans tomber dans le divin et le rigorisme, un peu de plomb dans l’aile les élites, au tir aux pigeons se sont trop entraînées, elles croient ne plus avoir à viser puisque sentant naturellement la cible. Il est vrai qu’avec ces années d’expérience). 

Transparence, bourgeoisie d’appareil  structurée, droite et gauche, haut et bas, France d’en haut, France d’en bas, népotisme et autocratie, personnes issues du même milieu favorisé, assemblée représentative d’elle-même, en connivence avec les milieux financiers, consanguinité, finance prédatrice, classes dirigeantes, exigence très forte de rentabilité sur les dirigeants, l’argent appel lard gens pour art gente, ris, petit exemple, le maire, le rond point, l’appel d’offre arrangé, le gendre entrepreneur. Gangrène.

Et les journalistes ? La peur de la porte.  « La hargne du domestique congédié », expression de Jean Galtier-Boissière, fondateur du Crapouillot, parlant d’eux, si virés, mais de nos jours se replacent toujours, pour les pontes, porteurs de plus-value, un manège « enchanté », on retrouve la queue de Mickey.

La corruption, les gens s’en foutent, la sanie est partout, ils feraient pareil et ne font plus de différence entre eux et des élus, plus de réelle volonté de probité, à  la rigueur, c’est être faible. Ne dit-on pas souvent de quelqu’un « qu’il est gentil », traduit, on va bien la lui mettre.

Donc finance prédatrice, capital purement financier, poids des états sur les taux de change et classes dirigeantes aimant l’argent des plus riches (Sarko en grand symptôme), qui elles souhaitent une forte rentabilité, le capitalisme industriel aux mains du capitalisme financier, qui restaure le capitalisme de l’ ère Reggan, ta(t)cher, moins de social (le grand chantier de tous les sycophantes ressassant,  faut qu’ça rentre, techniques de lobbystes, ou à la Tapie à l’Elysée pour son histoire Adidas, où à la gourou pour mener sa secte, à la langue de pub) plus de profits, moins de dépenses publiques, plus assez rentable pour le kapital, et l’éternelle peur de la fuite des capitaux s’ils ne saignent pas assez, alors que le vrai problème est la fraude fiscale, le reste n’est que viennoiseries, mais entre gens de bonne compagnie, on boit le thé (et du p’tit lait). Et sans ces gens de maison, la domination serait moins douce.

Ils ont massacrés les tigres, en Inde, du haut d’éléphants, sans risques, pour s’amuser, sacrifiant parfois des boys, avec la complicité de dirigeants et notables locaux. La hiérarchie horizontale, certains en rêve, les maîtres l’ont faite, depuis longtemps, les 1% (pour reprendre l’image des Huns dignes, nés), sont partout, entre eux, chez eux. Avec des gens comme ça au goût du sang prononcé, et tueurs de beauté pour leur malsaine soif de contrôle et de frime, le vampirisme (surgeon du capitalisme en roue libre) a de beaux jours devant lui. Mais que font les loups-garous ? Le nez dans la pâtée, on a les sens moins aiguisés.  

 

 

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