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Pue. Silex pour Pierre à feu (pas l’apôtre) embrase un pot-pourri toujours les mêmes gestes, images, palimpseste vert-de-gris, sous les couleurs chatoyantes, outrance répétée, hypnose abrutissante, décervelage c’est complet au rayon matraquage avec ou sans soldes pour défendre ce système moribond, espérons, où l’homme n’est que client consommateur (con, sot et mateur) on lui dit qu’il est responsable, en le poussant sans cesse dans ses derniers retranchements, créer des envies inutiles, créer de faux besoins, comment en est-on arrivé là ?

La « crise » mauvaise fille, gens consommant moins, s’ils se rendent compte qu’on vit aussi bien, mieux, puisque moins obnubilés par les objets, réfléchissant soi-même en objets, devenant objet et l’objet d’une conspiration libérale (dans le mauvais sens du terme) qui n’a de cesse de nous maintenir en société de dépendance, travailler, consommer, crever, sans recul, le tambour machine position essorage, ils t’ont vendu l’assouplissant, donc tu t’assoupis, attendrir la viande, voilà à quoi sert la pub, tapons dessus, de grandes claques, à la claque, y’en aura pour tous les goûts et les coules leurres.  

Pour une poignée de multinationales de tiques gavées gonflées d’importance les médias subjuguer, « j’les connais bien j’leur ai serré la main », dit le petit soldat du journalisme enkysté dans ses crédits et son niveau de vie, bon niveau pallier dans le hangar à palettes, piédestal, au-dessus du manant prodigons bonnes becquées qu’il ingurgite sa soupe, maigre, nous on a le fromage, et c’est pas d’main la veille qu’un renard nous la f’ra.

Autre matraquage, lié, lie et Occupy aux Etats-Unis, Indignados en Espagne, Printemps érable à Montréal, ils sont aux abois, les contestations démocratiques non violentes, festives sont trop citoyennes, donc une répression de plus en plus militarisée. « Rentrer dans le rang », il faut provoquer, exaspérer pour que les mouvements se durcissent, et ainsi légitimer leur violence auprès des moutons de pannes, urge, panne d’achats ne saurait se maintenir, vite, la croissance (mais laquelle ?).

Les mouvements anti-globalisation, pour lutter contre, utiliser les méthodes anti-hooliganisme, c’est préconisé  par le Conseil de l’Union européenne depuis 2002, il faut le savoir. La morale de cette histoire, ne réfléchis pas.

Les G8 (réunions de chaises percées qui nous chient dans la bouche et nous disent que ça nourrit)  « bunkerisés », inaccessibles et interdits. Les dominants de plus en plus intransigeants avec les troubles de leurs fêtes, surtout quand le torchon brûle, en bons petits soldats de la planète du « tout pour le fric. » 

Ces élites de la mondialisation en grand barnum, avec violences, pas seulement sur les animaux en cages, mais aussi matraquages accrus dans les tribunes, plus « soucieux de conforter leur ordre interne que de promouvoir le bien commun* ». 

Le « droit de résistance » des citoyens au sein de l’Etat est inscrit dans la Constitution de 1793, même dans l’armée pour refuser il y a « l’ordre incohérent ». Les états « souverains » se comportent en suzerains, c’est en bande organisée qu’ils jouent du trois bandes, médias, flicage, consumérisme, ça se résume à si peu qu’on se demande si c’est humain, on se croirait en plein « Invasion à Los Angeles » de J. Carpenter . » Et s’ils étaient déjà là ?           

 

*De la guerre à la communauté universelle, par Monique Chemillier-Gendreau, Fayard.





C‘est le marché qui décide

 

 

La loi de l’offre de l’amende innervée 
Distribution s’amende tours pendables 
Sur le marchepied la marche est forcée 
Broyer les êtres mâchefer trop salissants 

Sous traitons toujours déresponsabilisant 
Pour notre convoitise plus vampirisée 
Qu’un aliéné sous nos dehors à fables 
Terriens contre t’es rien avidité 

Cagnotte gagnante jeu des mille bornés 
L’entité alien à l’affût du râble 
Pour son rab rabioter ne pas mégoter 
« C’est pour ma famille » dit le vil intrigant 

« Que je n’ sache rien de bien dérangeant » 
Sortie droit d’un labo Follamour déclaré 
Sommes dans la légalité préférable 
Et préférée des 1% pourceaux beurrés 

A l’or gras ils s’en soûlent de millésimés 
Les cajoler pour le biz c’est souhaitable 
Il faut se mettre à table en cécité 
Larbins veules obséquieux plus suffisants 

Qu’un squelette en ossature marinant 
Dans leur jus infecté délicieux brouet 
Où tu rêves de patauger indicible 
Ombre de toi-même sont heureux attablés 

Ces pourceaux d’Epicure en cures rincés 
Toujours à la recherche d’un coup jouable 
Ne sont que de sales gosses malsains gâtés 
Qui gâtent vies et planète toujours fringants 

Leurs folies pour un monde pipé astreignant 
Campés aux mâchicoulis les couillus madrés 
Intouchables aux parcours impraticables 
Au golf aiment bien se mirant se marrer 

Sorti droit d’un parcours fol amour biaisé 
Le sens commun dénaturé « c’est valable » 
Adepte de la terre fragile brûlée 
Tous ces méfaits poignants consommés astringents 

Des frustrations en soi rien d’alarmant 
Mais la connerie à ses raisons que l’inné 
Ignore rejetant ce monde peu stable 
Aux échanges funestes déséquilibrés 

Ils ont de ses sentences au fond de nuitées 
Seuls gardes du corps observent à l’étable 
Agitées la queue droite un peu viagrée ? 
En viager la planète pour ces déments 

Pas de camisole sinon pour les enfants 
Terres saturées de poisons acidulés 
Qu’on est l’ivresse aux talons achetable 
« C’est légal » dit le labo caché avouez 

Vos maléfiques conflits d’intérêts volés 
Au grand jour la torpeur vérolée se boucle 
Le peu d’intérêt pour ces questions hissées 
Au rang de « prises de tête » s’accommodant 

Peu avec un devoir d’opinion navrant 
Puisque tout est sous contrôle estampillé 
« Le bon sens en action » gentils retables 
« Fais-nous confiance » fini de blablater. 

Les rois mages marges, oh et puis les pourceaux d’Epicure non rien d’épique, mais en avoir trop cure ne peut qu’épaissir leur marmite sans fond, et c’est pour qui le trait fond? Fond, ils se la coulent, trait, ils seront toujours du côté de l’archer, ce brave vassal. 

La main invisible du marché : L’atémi. 

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