Kata phasme pur, hecto frasques mûrs A l’orée de ton horizon tu mutines Par bouchée à l’or diapason tu rumines Katas glacent fur, et toutes mesures Octroies places hure, à liaisons cure N’as qu’en tête dure embardées tu fulmines Bien à toi la quête du gras assène Si c’est ainsi que les hommes vivent Gageons qu’en leur humble demeure Des craquements vermoulus se suivent Au chaudron la brouette fleure Le brouet acide des lendemains Qu’on le dise au goût« libertins » Traçons ce sillage vif c’est certain L’indulgence vaine du vin. |