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  • Un titre, bah là j'ai rien.

     

    Même pas virés (à ma connaissance): Lors de la tuerie à l'épicerie juive, il aurait fallu qu'ils se fassent exécuter les survivants puisqu'ils donnaient l'info sur la chambre froide les petits soldats énucléés de l'info en continue pour tomber sous le coup de «homicide par négligence ayant entraînée la mort» et être virés à coups de baffes dans la gueule. Remonter la chaîne de commandement ? Les fusibles n'auraient pas suffi, on ne touche pas aux pontes amis de puissants. Décidément, médiatiquement, il y a vraiment quelque chose de nécrosé.

     

    Les «Guignols» en crypté: Pas comme Sarko et son ami Bolloré, clairs sur ce coup comme de l'eau de ruche. Ca construit des ruches les frelons ?

     

    Pouffes, pignoufs, piches, pichous: La France d'en haut la France d'en bas, pas de ligne de démarcation, la mondialisation nationale du «tiré par le bas», au moins ils n'ont pas de complexes, ce qu'on croit, beaucoup de postures, effet d'entraînement de groupe, ça sert tellement à oublier son individualité, une protection embarrassante, l'oubli de soi par construction en groupe limité (pas le nombre), c'est pas si fun, ça manque de vie privée, d'introspection, c'est utile pour le commerce, une grande tendance à la copie, tout bon pour la rame de papier biftons, mais dans les têtes aussi, ça rame, c'est le grand bouillon. Le court terme, à terme, manque de thèmes, ça tourne en rond.

     

    Guerre intestine au F.N: Ca ressemble à une histoire d'héritage, mais le patriarche n'est pas mort. Je serais lui, je louerais un goûteur. C'est tout bon pour Sarko, ces déchirements, une partie de l'électorat, au ras-le-bol avéré, se tournera vers lui. Est-ce pour cela qu'il critique systématiquement les décisions d'Hollande, même à l'internationale. Oui, l'électorat F.N aime le conflit, le combat des chefs, la castagne. Son discours va monter en pression, en même temps, c'est tout lui, mais les bateleurs, ça marche encore ? En temps (et tant) de crise, le côté jeux du cirque, malheureusement, a toujours fait ses preuves.

     

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  • Jusqu'à là.

     

    Eau: Jusqu'à Napoléon Bonaparte, elle appartenait au Roi et seigneurs, un formidable moyen de pression sur ses sujets. Il y remédia mais dut faire marche arrière. Peter Brabek, président du groupe Nestlé, estime que l'accès à l'eau n'est en rien un droit fondamental, c'est une denrée comme une autre soumise à la loi du marché. Toute denrée alimentaire a une valeur marchande, très proche idéologiquement de Mosanto. Pour cet homme le bio est dangereux, les OGM inoffensifs. Je comprends, la flotte est tellement souillée, «les filles, vos cheveux après le shampoing, ça craint, rincés les à l'eau en bouteille». Il est aussi vice-président du conseil d'administration de l'Oréal. Ca c'est de l'organisation. C'est fou ces gens (de haut en bas) qui se lèvent le matin, une obsession «comment les faire cracher plus au bassinet», jamais ça les bassine. Addiction au pouvoir sur les cohortes de manipulés. Malsain.

     

    Pas tous égaux (mais bons légos) face à la retraite: F. Hollande, toutes retraites confondues, touchera 35 800 euros bruts. C'est tout.

     

    Aliénation: Et aliens nation, le premier jour des soldes.

     

    A la radio: D'une musulmane voilée, «obéissance au créateur, obéir à ses lois», «la divergence entre les religions vient de l'adoration», parce que obéir aveuglément, c'est pas de l'adoration ? «C'est Dieu qui décide, pas les hommes», l'islam, religion du déterminisme, du fatalisme ? Mais Dieu, un jour les mathématiques le percerons à jour. Dieu, une équation ?

     

    Plus c'est gros plus ça passe: Dans l'art contemporain, que d'oeuvres monumentales pour faire passer la médiocrité, en assommant (avec le buldo médiatique, grosse maffia ce milieu, ambiance traders en haut de leur pyramide).

     

    Info ou intox: 25% de la gent féminine sous médocs anti troubles mentaux (de légers à lourds). C'est pour ça ! Et les hommes ? Pas d'info, ça sent l'intox. Troubles mentaux, c'est vaste, irrépressible obnubilation du shopping, ça compte  ?

     

    Allégeance aux ventriloques: Vents trient, loques.

     

  • Beau, cage.

     

    S.F: Anticipation. Un planqué, sur son île protégée, après avoir bien rigolé, mâchoires crispées, les décisions ne se prennent au débotté (quoique, en bourse ?), pour régaler sa nichée, et ses à-côté, alla vivre en résidence surveillée (par ses gens armés). Mais le crowdfunding passa par là, et une bande de mercenaires s'occupèrent d'eux, puisqu'ils n'étaient assez aguerris. Le planqué (comme commandé) finit au bûcher, dans sa somptueuse baraque. Famille fut épargnée (et les animaux). Cela ce sut, les autres commencèrent, à paniquer. Les boites de protection se régalèrent, car la galère ne peut les toucher, quand tout est mis en œuvre pour développer la violence, pas de quoi se, miner. Plein de petits îlots (symboliques ou non) surprotégés pour continuer à déposséder, spolier, vivre quoi !!! Vivre ? Il y a survivre, et non, «sousvivre», eux sont en survivre.

     

    F.N: N'avez-vous pas remarqué, Jean Marie le Pen décide de saborder son parti surtout depuis qu'il apprit l'homosexualité de Filipot, alors, l'un «gaulliste» et l'autre OAS, je crois que c'est secondaire, car les PD, au bon vieux temps du maréchal, on les ratonnait. Les homos infiltrent et prennent le pouvoir au sein de sa création, non mais vous imaginez un peu ?!!!

     

    L'écume: «Les chose», de G. Perec, l'écume des choses, dans «l'écume des jours», de B.Vian, se continue dans l'écume des nuits, jusqu'au «morsures de l'aube», de T. Benacquista. On écume, fatigué, cherchant un sens à ce fatras cette bouillie, la bave aux lèvres, puisqu'en colère parfois, pourtant bourré, qu'a voulu dire ce tour de cadran ? Ca cadre avec quoi ? Un cadre ladre, chemin de traverse nécessaire face au chassé-croisé de routines pesantes, tout ça essentiellement pour acquérir des choses. Mais c'est nous la chose, «la créature des marais», au bocage, nous tamisons le fond, esprits en bocaux. Les yoles, silencieuses, bien achalandées, au fil de l'eau, mais très équilibrées, nous glissent dessus, les gens à la godille, ne nous voient pas, l'eau est trop trouble. Quoi, c'est nous les troubles !!!