Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • Emoi et moi et un mois

    Quatre semaines : Sèment haine ? Un mois pour deux «moi venge heurts». A Charlie Hebdo, deux victimes du totalitarisme français rendues incultes par des professeurs démissionnaires sous anti-dépresseurs habillés de gilet-par-balles tournés de fait (ou du coup) vers la fascination des armes, la délinquance et un charabia tronqué ne faisant référence qu'aux sourates les plus extrêmes et à des hadiths péremptoires ennemis de la réflexion surgissent et tuent. Deux drones humains défendant leur liberté d'expression à coups de rafales pendant que nous ne fourgons les nôtres utilisés trop souvent à mauvais escient puisque tuant nombre de civils (dommage Cola t'es faux, seul Coca Cola etc.) amputent la République de «petits pères de la Nation», version d'ess pression drolatique nécessaire (de plus en plus) puisque les puissants n'ont de cessent de renforcer leur mainmise (et dans mainmise il y a, main au panier, au dragage de jetons casino).

     

    A croire qu'ils ne firent que des caricatures de Mahomet, ou que des caricatures, il faut ne pas les avoir lus. Cavanna, en sa grande sagesse, visionnaire, s'éclipsa avant. In châle ah ! Plus joli que le foulard, ça laisse respirer les oreilles. In chat chas, en son aiguille un mauvais rappel du tétanos Tanatos et sa personnification de la mort. Le fils de Nyx drape la France d'un voile noir. La faucheuse se ballade dans les rues, meurtrière en oeil de bœuf, tout comme des femmes musulmanes (si peu) portant niqab noir. FFF et III (fric foot foutre idéologie ignorance inertie) à la manœuvre pendant que des mannes oeuvrent. Biberonnés au néo-libéralisme séguélien, le «tout pour le fric» ne peut être pour tous, ou par des voies détournées. Marche où crève, quel projet. Quant on dresse à l'individualisme égoïste et le consumérisme roi (ah, la croissance), que des êtres se tournent vers une «famille» autre que la sienne (c'est humain, sortir du giron) n'a rien de surprenant. Faire partie d'une fraternité, ne pas être qu'un con sot mateur. Ils viennent de la délinquance, «ordinaire», de notre déliquescence. Des élèves de troisième sortent avec 500 mots à leur vocabulaire, quand en télé-réalité ça plafonne à 800. Bien largués les jeunes, ça va être dur à rattraper (les BD en contiendraient 2 000 en moyenne).

     

    Héraclès enchaîna Tanatos avec des liens de diamant (rappelons que sa rareté est manigancée, pour faire plaisir aux harpies l'or et hâle ?) pour délivrer Alceste. Des imams auto-proclamés salafistes ou tablighis en mission pour l'effroi pour des corps froids forment des serpents embusqués enkystant, distillant un venin incubé en chambres closes devant un web recruteur de recrues tueuses. La toile du net pour une toile d'araignées velues, à voir des toiles, préférer le site du Louvre. Les convictions religieuses en parpaings altèrent le jugement et cimentent des bastions pour la baston inter-religieux (ou est le relions, et qu'est-ce s'il se transforme en re-ligons autour de crânes crâneurs cramés).

     

    Charlie Brown broie du noir et relit Voltaire, contre le vol taire de butins internationaux iniques, que de pillages. D'ailleurs Tarik Ramadan n'a pas le regard de son sourire ? Sait-il que le peuple élu sont les humanistes non assujettis aux paroles religieuses, pouvant les écouter ? Mais qu'est-ce que ça vient foutre là ? Bon, reprenons.

     

    Trois cassos pour ressouder la République ? Effectivement, l'effectif ment, cette unanimité (quasi, de façade ?) face à cette tuerie peut laisser de marbre, mais quand même !. L'élan populaire non. Gageons que la plupart furent sincères. Que cela ne nous mène à un totalitarisme larvé éclairé. Ils furent raccords nos bourges, au corps bouillon point à court, doit-on leur chier à la raie. Si on peut prendre le bus. «Ah bah non aaaaalors», ils bourrent vils, certains. Encore de la société spectacle, les spectres taclent et en rient. «Jette du riz sur le parvis», la mariée était en moire, aux reflets changeants opportunistes . Sarkozy s'imposant, toujours en symbole de caste. Le lit de la lie à l'hallali ? Gardons ça quand même pour les tueurs et leur curie marrie. Au bonheur des drames faire son lit, «comme on fait son lit on se couche», ah non, pas eux, la couche c'est pour les coucouches paniers, rarement percés. Un parfum de «vol au-dessus d'un nid de coucous», notre Président en Nicholson, pourquoi pas ? S'il aide les indiens à s'évader, mais qu'il ne perde pas trop la tête, son intérêt général semble souffrir d'un manque d'acuité (ou pas, d'où les «sans dents», mais ça, je l'imagine beaucoup plus en la bouche de Trierweiler et ses amies grandes bourgeoises en soirée) face à la gêne et râles.

     

    Ils sont tous sur le pont pour la France, ça brique ça brique, mais le Titanic, aisés (et les strates), moyennes classes, tiers-état, ils l'ont dans le cœur (on dit logiciel en ces nouvelles contrées vertes de pelouse artificielle pour gazon de golf). L'éducation, les «ghettos», les enjeux prioritaires, que n'auraient-ils pu s'en soucier avant, depuis quelques décades. Mieux vaut tares que jamais ? Avec quels sous ? Puisque tout est lié, à lier ou aliéné, les «prises de conscience» de circonstances sont une constance «car chez ces gens là, Monsieur...». Nos tués furent (n'oublions juifs et policiers mais on ne peut s'avancer quant à leurs convictions) des exemples du libre-arbitre pour la «conscience, l'opinion et la liberté». Le COL, en vieux français, décapitation. Décidément, tout se recoupe.

     

    La laïcité est la forme suprême des religions (c'est pour énerver) puisqu'elle les accepte toutes sans se laisser emmerder par aucune, normalement. Ce jour, en faisant quelques courses en grande surface, j'eus le loisir d'observer des jeunes à la cafèt dudit endroit. Deux jeunes filles voilées de noir. Ca déconnait ça rigolait sévère, tous ensemble, aucun ostracisme. Mais je suis en village. Pourtant la nuit j'ai entendu des Allahu akbar, même un mort aux juifs, le mors de la connerie du mimétisme tant vanté en système consumériste. De jeunes cons en posture; relayant le clonage sur le web; des «rebelles» obnubilés par leur apparence et l'avoir, donc l'être, souvent dans le TAF (Trafics, Apparence, Filouterie), loin du TAF, le boulot (en même temps il n'y en a pas, même pour les vieux cons). Des gens créèrent une grande affiche «je suis Charlie» et la posèrent sur leur palissade, personne n'y toucha. Je découvre simplement en passant ce matin qu'elle n'y est plus. Que ce drame ne soit pas, encore une fois, qu'un retour en palissades vides de sens, à part les (re)fermer.

     

    Pour finir si on peut estimer qu'il y a tromperie (défilé mondialiste d'élites ne vivant qu'entre elles), tout est dans le «estimer». Et si la croyance concerne la spiritualité et la religion le politique, ce fut une tuerie avant tout économique. Que Bernard Marris les bénisse.

     

    P.S: Je ne lisais plus Charlie Hebdo depuis P.Val et son consensus mou social-démocrate, un vrai cheval de Troie (sa carrière, je n'ose le croire). Je n'eus la curiosité de réessayer depuis Charb (très rarement).

     

    Deux définitions pour finir, iconoclaste: Rejet de toutes vénérations vouées aux représentations du divin, de tout intermédiaire au divin (peintures, statues, images). Iconolâtre: Adoration des images, idolâtrie de la représentation. Bah d'une façon ou d'une autre, aux travers des siècles ! Et puis il faut leur dire aux conditionnés au djihad qu'ils n'obéissent à Dieu mais à des hommes, et que par leur docilité, ils se comportent comme des femmes soumissent. Ca peut les faire réfléchir, les «couillus».

     

    On en reparle dans un an ? Un an, pour inverser une vapeur viciée, c'est des générations, au moins une. Quant on laisse aller à vau-l'eau, quand 1% en 2016 détiendraient autant de liquidités que les 99% autres ( je n'y crois pas, mais plus c'est gros... ?), qu'une envie de tirer la chasse gagne, mais que les «ensectés» ne pourrissent pas tout, alliés objectifs d'un sommet de pyramide défendant avant tout son statu quo, en l'hystérisant, jamais assez, le credo. De vrais sociopathes, mais personne ne le dit.