Si l'on veut vivre, comme tout à chacun, n'ayons l'air de rien, se résume en peu de mots, la plupart sont faux, mais sans les employer, tu n'est pas armé, c'est le risque à payer, pour être empaillé, un kyste à mâcher, pour être cajolé. Un risque à liquider pour ne pas être largué, la lucidité.
De tout ce fatras en purée de moi, en ablablis ablablas, on peut trouver l'âme soeur, pour un soir, c'est du leurre, en foire, tout le monde se beurre, on reprend à boire. Beaucoup s'en repaisse, en état d'ivresse, nul ne se blesse, c'est la grand-messe, à la curée, les enivrés.
La distraction, sur tous les tons, s'il n'y a que ça de bon, autant être aileron et crever la surface sans laisser de traces, ça ne convient guère dans la grande surface de l'étalage rudimentaire des pics à glace, mais flashi flashe la sur tous les fronts, faut avoir la dent dure, c'est pour le filon, et savoir tenir sa place dans le carrousel des grandes cuirasses radeaux-tentes, l'histoire d'une nasse, encore flottante, faut pas être naze, pour aimanter l'amante.
La bonne marche à suivre...