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C'est comment qu'on freine - Page 39

  • Pèle pot aime?

    Manque

    Untel etc. tue elle
    Impair et passe
    Curariser
    Sarcophagie

    Eléments à la marge

    Prophylactiques
    La panse et,
    Pense mens
    Mise erre

    D'équerre en pis

    Bozzon de X
    Aux cordes
    Knock-out
    Knout

    Partouze vampirique

    Par avants
    Ailleurs
    Fourches
    K.O, dîne

    Mon coeur vit de ton coeur

    Vide de
    En pales
    Trium vira
    Verra verrat

    Dans bauge s'ébattre, puits s'abattrent
    Boire la tasse écrou PI
    Derrière la virgule
    Qu'une ribambelle bambochant au champ pollué aride.
       

    La mort au mors

    Bas en haut
    Tenant et
    Bout tissant
    Si maudire
    Sans mots dire

    Poindre crocs
    Mais c'est faux
    Aux bas maux
    Etre sot
    Calicot

    Bas en faux
    Tenant et
    Bout minant
    Mots fuir
    C'est pour dire

    Point de sots
    Sang nait trop
    Marigots
    Tout est faux
    Aiguisée.

    Cons sommes? Pour sommes

    Dû, rendu vendu
    Vend du mou
    "C'est si chou"

    "Ah, c'est un peu cher"
    Compte pas
    C'est pour moi

    Toi toit voit tues louvoie
    Singeries
    Pour produits

    Finit in fine nies
    Ce commerce
    Pour des fesses

    "Oh mais c'est sévère"
    Galéjade
    Pas du jade

    Galimatias
    Ces discours
    Font un four

    De fausses exordes
    Pour dix cours
    Petits fours

    Des galas cachés
    Galiotes
    Pour leurs hottes

    Galetas la tasse
    Sous les combles
    C'est un comble

    Magie de nöel
    Ce foutoir
    Au grimoire.

  • Yuna

     

    Ton absence me remplit de non-sens
    Vacuité assourdissante
    Ces pelletées résonnent
    Après tes râles

    Douleur intérieure
    Jusqu'au bout le ronronnement
    Ma barcasse est en plomb
    Mes pagaies caoutchouteuses

    Me signifiant à l'insignifié crucifié
    Reconnaissance d'amour
    Torrent d'émotions en douves atterrées
    L'altéré au pont-levis

    Refaire semblant
    Conventions quo "électives"
    Quel dégoût
    Un ange chat passa trépassa

    Tira sa révérence, un ange chat
    "M'abandonna".

    Vide étouffant, au soupirail, le zombie se fout de la route, puisqu'elle est, barrée.

    Le 05/12/2013.

     

    Mon amie chatte partie, le 4 de ce mois, les textes suivants en découlent, des dés coulent, et Dédé pagaie.

     

    Un ange casse

    Les vautours croassent.
    Entre chien et loup la nuit me fait peur
    Petite soeur hors des leurres
    Loin de tout leur beurre

    Fondu, pour pièce-montée
    Magniérée, simplicité
    Ehontée, pour cramés
    Ignifugés, atterré

    L'être sincère voie basse
    Entre chat et nous la nuit
    Se meurt, rend coeur
    Encore! Bilan destructeur.

    A la croisée des chemins l'horizon est bas, mais que bassesse cesse, car le bas qui blesse n'est que réflexes sexes sans conscience, et la mort dans tout ça? Variable d'ajustement? Ajuste et ment? Injuste, et l'écrit qu'une béquille molle, une diversion, éphémère.
     

    Le 5 décembre 2013-12-11

     

    En l’an de glace

    Invasion à Les Angeles
    Les hameçons sont lâchés
    Pourchassés bourgeoisés
    Un vase ion sans es

    Ex-pire que tes symboles
    Crachats chlory
    Druidiques
    Trop de râles

    Pour tant de râble
    Cablé? Accablé
    Le taon pied
    Coup de

    Ne pas écraser
    Fêtes de no elle
    Mais pourtant
    Que vivent leurs ailes

    Trop alourdies
    Consu- Méry
    A la vidéo
    Maffioso

    Blabla bourge-choses
    Chose choses
    Chausses clapes
    Ayant connu

    "Prostituées"
    Desti-tuer que les DSK viennent
    Sans Vals
    Ou star du Val

    Que val s'en face
    Quelle berge?
    N'ayant pu
    Abréger.

    Mais ne sachant
    Ni trop ni quoi
    De guingois
    Mais là.

    Le 7 du mois.

     

    Un ange se glace

    Dans mon marigot du ciment sous les plaines, sous les plaintes , du purin aviné en cure cubis tassés, tournée la page, de la fa(r)ce de l’immonde. Concomitance du temps, des tant. Ce siècle avait 12 ans, au touché coulé huit jours enterrée, que je m’enterre, mais je prends l’air. De rien. Au grand huit, hauts les cœurs. Réflexes inculqués rimés grimés potager, le pot aux roses viendra de terre, fanées, artificielles, au tripot tripoux et ses simagrées. Que de cette liesse ne suintent que des laisses et, pour contes, à dormir daube boue. Il fut un temps je bous, maintenant j’attends.

    Préférer les cendres, elles volettent, une étincelle naturelle. Lourdeur, mort, terre dure, mur.
    « Invasion à Los Angeles », que neige été le la plus? En miroir défroqué « Risibles amours », le knout des rats m’empoisonne, risibles atours. Les vers tendent verre l’elfe fini. Douleur, doux leurres, deux cœurs sûrs, un de moins, l’autre coupé. Espace ravagé, espaces tronqués.

    Vacuité, vas cuité, au champ, pelle et pioche, l’ange chatte en son roide trépas œil fixe gueule bloquée au dernier long souffle angoissant déchirant que je dépose avant le mur. Quelques mots, encore, et la recouvrir. Quelle misère.

    Garde ta « gnaque » hauts les cœurs ! Tu te crois en guerre, qui t’a dit ça ? Cil à cil ne regarde pas en profondeur, mais il le faut, que charognards ne la déterrent. Ni diversions ni digressions, à terre pour en avoir creusé, bien bas bien las, bien moins qu’elle.

    S’habituer à l’absence , montre molle et vide d’heures cruellement habitées, le centurion hagard erre aux mille pas se complique la danse macabre, mais en tout honnêteté ne pense qu’a une danse, à jamais figée. Quel vide. Vit dans l’air, un poison, quel manque, vit dans un chagrin rougeoyant crevant.

    Ce jour.

     

  • Gueule de broie

     

    Si fond

    Il boit pour oublier qu'il vit
    Il vit pour oublier qu'il voit
    Il vit pour oublier qu'il fuit
    Sa survie est en lui

    Elle joue le fou du roi
    Il boit à n'être plus de bois
    Et ne plus survivre ses ennuis
    Il boit à se croire en vie

    Mais il se noie
    Vit en mélangeant la vie
    Il brise ses vies, vomit sa voix
    Il vit en restant de bois

    On boit pour se croire en vie
    Quand on est froid
    Et il ploie, devient son pire ennemi
    Tout ça finira mal

    Mais il n'aura plus d'ennuis
    Une détente, c'est froid
    Plus brûlante que la vie
    Il portera sur son doigt

    L'empreinte de ses pires ennemis

    Le froid, l'émoi, et lui.

     

    Siphon

    Un dimanche à la ville, part une sombre journée
    Cherchant, c'est de la malice, un brin d'excitation
    L'alcool me tourne en rond, retourne sa pelisse
    Nul endroit, nul horizon, où lancer ma cilice

    Je vais, déambulant, chercheur zélé
    De quoi oublier mon abandon
    L'alcool frappe à mon front, crache sa prise
    Nul endroit, nulle raison, d'attendre un calice

    Un dimanche à la ville, sobre journée
    Nul part, nulle saison, pour oublier
    La solitude grise.

     

    Si font

    Un dimanche à la ville, part une sombre journée
    Cherchant, c'est de la malice, un brin d'excitation
    L'alcool me tourne en rond, retourne sa pelisse
    Nul endroit, nul horizon, où lancer ma cilice

    Je vais, déambulant, chercheur zélé
    De quoi oublier mon abandon
    L'alcool frappe à mon front, crache sa prise
    Nul endroit, nulle raison, d'attendre un calice

    Un dimanche à la ville, sobre journée
    Nulle part, nulle saison, pour oublier
    La solitude grise.

     

    Bois

    Un beau soir, un matin tu t'regardes de travers
    T'as des yeux fouineurs qui tapissent ton âme
    Tu t'dis qu'si tu tiens c'est surtout par les nerfs
    Tu t'dis qu'si tu tiens c'est à cause d'une femme

    Mais t'en crois rien, tu t'sais trop en loques
    A boire du dégoût au fond d'ton impasse
    T'as les crocs noyés dans la vinasse
    Et tu t'tiens là, tout de briques et de bocks

    T'es là a suspendre ta foi
    Cette indigne maîtresse

    Alors à genoux tu pleures et tu te blesses
    T'as les os qui grouillent et te pressent
    Qu'importe la vie sans caresses
    Qu'importe la vie si en toi elle se blesse

    Tu t'regardes mourir t'es même plus un amant
    Y t'reste plus pour vivre qu'un ou deux serments
    Alors tu t'accroches à tes cris tes chicanements
    Mais t'es chassé du monde des vivants

    T'es classé voilà tout au revers des amants
    T'es viré voilà tout d'la patrie des aimants

    Y t'reste plus qu'un goulot à soulever
    Plus qu'un goulot pour t'étrangler
    Noie ton ivresse mon âme dans l'oubli
    Oublie ses caresses ses flammes de ta vie

    La vie ne fait pas de cadeaux à ceux qui l'aiment trop
    C'est une maîtresse fantasque qui crache sur le beau.