"Ce texte surréaliste, cette façon de déchirer le réel, pourquoi - Si tu veux, c'est surtout le réel qui me déchire, le tissu cicatriciel suppurant sur des monceaux blablablablablablas (je ne me souviens pas de la suite, la vodka ça aide pas, mais improviser en pince-sans -rire, ça marche). Ces yeux de lémuriens, j'ai, intérieurement, bien rigolé. Ah, les vernis-sages. "Moi, en tant qu'ardoise, non, qu'artiste", ou l'art de se mettre en piste. Raz la cuvette à chiottes en jolies mosaïques (en plus nombre ne créent même pas, d'autres oeuvrent, et ce sont souvent des histoires de filles et fils de, les parents se renvoient les ascenseurs, pensez donc, rater sa prêtrise, son droit, ou autres, heureusement, il y a beaux-arts), mais ils confondent ar et art déco. On peut esthétiser sa tripaille, mais ce ne sont pas des schrapnels dans de la bidoche vivante, mais dans des sacs de son, transformés en son, savoir parler avec sa bouche de soi en tombant dedans (voir plus haut cuvette). Bon, si au moins c'est joli.
C'est comment qu'on freine - Page 97
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Ca va loin les planeurs
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Métaphore
Ah, ces hommes politiques qui ne cessent de prôner le retroussage de manches et le bonheur d'aller trimer en boutons de manchette plaqués or. Quand ils utilisent une pelle, c'est pour planquer les preuves.
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Décentralisation
Nécessaire, mais pour les assos culturelles, c'est la chasse à la dote (subventions), lécher des raies reste le meilleur moyen d'avoir le goût de la gâterie sur la langue, les potentats locaux n'astiquent que mieux leurs danseuses. Au grand écart, c'est marée basse.