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C'est comment qu'on freine - Page 93

  • Patience

    "Je ne couche pas le premier soir - Il est deux heures, c'est le deuxième (ça ne fit pas rire, parole de splouf), maismaismais... Bénéfice (du doute, tu tends? Doutes). Une route déroute, je souque. On verra. Qui vivra brillera. Si ce sont tes âppats, avec moi hors-la-loi. L'eau forte se orte, s'y frotte, je heurte, en flirt.

    "Non, pas là". Son Kant à soi, voyons cela. "Où tu vas - Bah, suis moi - Où ça - Et pourquoi pas, on nie vas? - Attends moi, on vas chez moi, souviens toi, à deux pas - Toi qui vois." J'y suis déjà, aux entrelacs. Entrechats, entre soie.

    "Réveilles-toi - Ton mec bientôt là, pas comme l'autre fois? - L'autre fois, hors tu chois - C'est pour quoi? - D'après toi." Nous y revoilà, goûtant gras où ça s' voit

    Dicton: Au travail la régale, à la baille nous voilà beaux. 

  • L'économie expliquée aux niais

    Euro fort=exportations chères=importations moins chères. Eh, dans ton panier de crabes de la ménagère, entre l'euro "faible" du début et maintenant, tu as l'impression de d'être moins fait avoir? Si c'est le cas, tu as les clefs du magasin.

  • Langues cuites

    Les liftés de la langue nous parlent de poésie, parfois en font (angelots et ruisseau qui divague, mais pourquoi pas, ça peut-être classe). On pense quand même un peu aux religieux qui nous parlent de l'amour, forcément courtois, puisque sa réalité naturelle, la baise, en est suspecte.