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  • Le sang à la une

    La poupée sanglante, impudique, soulève ses voiles sur de fausses coulisses. Les petits soldats du journalisme accompagnent les "Small Soldier's", les pantins vulgaires, quand trop formatés. Le ciment continue sa progression de pierre tombale, TF1 toujours en tête du box aux vices. M6 cacacole, qui monte en montrant, heureusement la TNT bat tous les records et les "dédouane", bien collés les morbacs.

  • "Tu me doit le respect"

    Le terrorisme de l'âge, purement arbitraire, est moyennageux. Le repect, pour soi, s'acquière, et pour les autres se gagnent, donc, souvent, si je te doigt le respect, tu vois lequel.

  • Philo de comptoir sans contes notoires (ou cons?)

    Je plains et j'envie un esprit qui ne connait pas l'ennui, il restera en dehors de soi, ou si bien en soi, il ne touchera pas ses limites, ne les sentira pas, ou s'en accommodera; ce qui n'est pas si mal; si elles ne font de mal à personne. L'ennui accompagne toute "avancée" désintéressée, permet de ne pas s'enkyloser d'évènements passés. Il tend vers l'avenir, qui n'est qu'un instant en sursis. Le passé meurt, le présent agonise, le futur, déjà présent, est inexistant. Il manque un quatrième temps, nous l'appelerons "qu'importe". Advienne que et qui pourra. Voeu pieu(x).

    Le passé offre le matériau du souvenir pour alimenter son futur en imagination déployée dans un présent condamné en mots, faut bien nourrir l'ennui (toujours mieux que l'usine).