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C'est comment qu'on freine - Page 22

  • Don du sans

    "Et vous, vous faites quoi pour cette journée du don du sang" : Je m'les ronge.

    Com' : "Ouah, comment tu leur as vendu la vaseline, chapeau." Vicieux, un métier.

    Matrice à tarés : Une matrice dans Matrix, qui progresse, sans cesse. Vivement le mixer.

    Barouf et esbroufe médiatiques : Les aventures de Lobo, Tommy et de leur canapé. Heureusement le foot vint.

    "Tout ça pour s'en prendre aux banquiers, aux financiers" : Qui eux s'en prennent à qui ? Pléthore d'insignifiants pour ce monde dans le monde, pourtant des petites rivières ils font leurs grands fleuves, ils y investissent en barrages, te noient quand ils veulent, et referment leurs barrages, pour stocker de nouveau une prochaine noyade.

    Le km autoroute : Un à dix millions d'euros ? Large fourchette, dépend de la "série" Christofle convoitée.

    Des ruffians aux rafiots : Rugissants sur coques de noient, presse people pour gens désespérants de cruauté, voyeurisme, bêtise incrustés, inculqués, occupation strass morbide, zombiesque. Viser la tête. Ah non, c'est fait. La détacher d'un coup de pelle, les trôner pour une exposition d'yeux morts, car une étincelle pour ces pupilles, ou une dernière, pour la mèche dynamite, pour le public. Pour une fois qu'ils serviraient (hors mouches à merde à fric).

    Au caniveau de tes pensées : J'ai balayé, hébété, inutilement, l'égout dégoût c'est tous les jours. Cantonnier, un métier, on se cantonne vite à cantiner, mais le Viandox, faut aimer, réservons-le au champ de manoeuvres, mannes à l'oeuvre des couleuvres, reprendre la pelle. Comptine perverse car se cantonner amène à se cartonner, du carton de recyclage mal désinfecté.

    "Qu'importe où Dieu vous plante, c'est à vous de savoir fleurir" : Avant Mosanto.

    "L'Europe, pour la paix entre les peuples" : En les divisant économiquement ? Entité avant tout voulue par l'OMC, Organisation Mondiale du Carnage. Entendre tous ces chiffres incompréhensibles, du gras fric d'une clique, ça aussi pour le FN, d'une grande aide, pourtant, ils n'y font allusions, en haut lieu. Ont toujours été très liés, historiquement avec l'élite à pognon, hors juif ? Pas si sûr. Avant tout une histoire de religion (et de concurrence). Eternels communautarismes.

    Suppression d'emplois, en grands groupes : Dommages collatéraux, en guerre de dividendes.

    Impunité oligarchique, fric, conflits d'intérêts et consanguinité :  Ho ! là ! la holà que de mots pour meute.

    Frontaliers : Avec la Suisse, de plus en plus mal vus. Ils disent "ça, c'est un travail de français", les français les arabes des suisses. Pareil, ils laissent dire et ferment leur gueule, l'important, le chèque.

    Nouveau bidule : 55 milliards pour le fonds d'aides aux banques européennes en cas de faillite financé par elles-mêmes. On rappelle les chiffres du puits sans fond en 2008 en Europe ?

    Bourdieu : "Le système n'est pas une fatalité", d'ailleurs on l'appelle un écosystème, infecté par des nuisibles introduits de longue date, mais cela reste un mystère, ils ne pullulent, comme s'ils géraient intelligemment leur reproduction, intuitivement. Ah non, c'est pas le mot. Historiquement.

    "J'm'en bats les couilles" : T'es gentil, tu vas plus loin (si elles "odorent" autant que tes pensées, de ton émasculation mentale se propage la nécrose).

    France Inter : Ne cessent de distiller des faits-divers, participent au complot ? Au bonheur du Val. S'en est allé. Manquera pas, puisque ça ne changera pas.

    Dicton : "Tant qu'on respectera plus le commerce que les gens, tout beignes."

  • Crottouille

    "Les nouveaux chiens de garde" : Une vingtaine d'omniscients omnipotents, du public au privé, sermonnent, admonestent, corrigent, d'impudence en imprudences, outrés d'être montrés du doigt (alors que le leur est levé, et pas vers le plafond de verre, ils y mangent), ne sont pas choqués, d'autres qu'eux n'ont pas accès à tous les micros, c'est ça le vrai scandale. Ecoutons les potentats mentaux, c'est pour notre bien (et leurs biens, liés à d'autres).

    14 - 18 : 14% pour le PS, un 18% en 2017? On parie.

    La vie est tragique : Si nombre ne s'évertuaient à accentuer cela, essentiellement pour du fric, et la rendre, qu'ils rendent la leur.

    Affaires : Au temps du RPR, il y en eut trop, ils changèrent de nom. L'UMP encore plus performante ? Un milieu d'affaires, de toute façon. Comme je l'écrivis à l'époque "pendant les travaux, les affaires continuent". Gageons que Sarko se présentera sous un autre acronyme. Soumettons  le MAS, Le Mouvement d'Avenir Sincère (au moins le sien).

    Travail : Doit rapporter, sinon simple "occupation", donc fonction de rentabilité, laquelle ? Quels critères ? Venus d'où ? Décidés par qui ? A quelles fins ? Pour quelles fins ? Pour les fins de qui ? Les faims de quoi ?

    Egotisme hiératique nombriliste : Individualisme lettré, moins lourd en société.

    Moderato quand t'es bilé : Vanne ouverte refermer trop biaisé(e). Cuite au long cours.

    Souffrance : En sous-France en fRance patrie pates riz pour tant, délétère, délais taire ? L'avenir nous le vivra.

    8h, télé matin, A2, service public : Hausse du chômage, en filigrane, "c'est la faute aux allocations,  trop fortes" ? Enquête, on se sent mieux vieux, surtout vers 67 ans ? "Ce n'est pas un signe de bonne santé mentale d'être bien adapté à une société malade." Jiddu Krishnamurti. Surtout au réveil, à télé matons. Je ne connais l'auteur de cette "sentence", si juste.

    Culture académique : Fourre-tout, cas thermiques, des mites Terminator thermidor.

    Jeanne d'Arc buses : Une fille de laboureur, des percherons tirent son socle et leurs fagots fardeaux. Une icône. I.cône, sur le Net, pas beau la drogue, pour les hallus, surtout pour nous enfumer." Elle n'appartenait à aucune chapelle", bah si, ils la brûlèrent pour hérésie. Trop de foi tue la foi.

    "Vous agissez car vous êtes agis." : Où ça mène les sondages.

  • Pas vu pas pris

    Consanguinité : Sang enlisé figé et politique, oligarchie, n'aime les sangs mêlés (quelques-uns, de temps en temps, passent le tamis, pour l'image), surtout que rien ne change, les affaires roulent, tout le monde connaît les règles. Que cela n'empêche le vomitoire comminatoire, ces donneurs de leçons (de piano au tuba) jouent de la grosse caisse en coulisses. Normalement, personne n'a droit de coup d'oeil. En no man's langue, toujours une croûtée d'avance. Elle est propre, l'haleine est fraîche, les dents vampiresques cachées récurées, le sourire carnassier sous le rictus VRP avec un grand pet (Vendeurs Représentants Placés) contrôlé. Dignes archanges de la pensée unique inique, on retient surtout" nique".

    C'était qui le saule pleureur, des larmes d'une vérité ! Remontons le curseur cursus, gageons qu'il fut bon plus jeune dans le théâtre amateur. Ah non, c'est un engrenage, et personne pour tirer le signal d'alarme. C'est alarmant. En ce milieu d'affaires, ils ont besoin de fusibles, c'est le jeu, ils sont bons manipulateurs, c'est vrai.

    Une fois "piégé", soit tu fermes ta gueule, soit tu démissionnes, et on casse ta carrière. Donc ton train de vie. Différence entre bien conduire et bien se conduire, la conduite accompagnée, à ces niveaux de décision, de qui se moque t-on ? Plus ils sont haut en hiérarchie, moins ils en savent ? Ils y sont arrivés direct ?  Il ne pédala pas dans la semoule. Posture.

    Mentalité "élite" du "tout pour le fric", bien distillée dans toute la pyramide, truquée, mentalité actionnaire LVMH. Des larmes de croco dans un bain de squales, il faut changer l'eau du bain. Tiens, ils recommencent avec (comme à chaque fois) le "nous devons changer les règles pour que les citoyens ne participent pas qu'aux élections à la vie de la société" blablas. En grevant les subventions aux associations, CQFD. Et puis "on n'a pas assez expliqué l'Europe par des débats aux français, donc ils s'égarent", blablas, éternels.

    Pendant ce temps "l'inéluctable" avance ? Je crois environ 55% de non au traité européen en l'état, malgré la moissonneuse batteuse médiatique. Les gens s'y intéressèrent. Et l'homme de Lisbonne vint. Alors, s'intéresser ? Ah, ces débats calibrés, discussions à bâtons rompus, abattons, rompez, rompus. Cette mondialisation, déresponsabilisation, des êtres informels, points invisibles sur des courbes comptables, une autre théorie des cordes. Les pendre avec leurs tripes ?

    A l'heure des lobbies, des multinationales, c'est l'anesthésie de l'esprit critique pour un héritage barbare génocidaire essentiellement industriel, ère heurts, pour erreur. Produire trop, acheter trop, bons humains défenseurs de la "croissance", crétinisme collectif "suggéré", la propagande avant, pendant, après les évènements. Events à gaz.

    Gnous au knout, avec licol consenti (et en bonus malus, aux sus, gens, virés actions bonifiées) alors que ce que je fais à l'intérieur se voit à l'extérieur, l'inverse des marques voyantes. Avidité et frime, tous azimuts, la lie (de diamant ou de charbon) liée. "Le mal est au soupirail", le résultat au caniveau.

    S'accrocher à sa vie plus qu'à son volant : Vol lent, oublier la vie. Accident.

    On naît pingre : Ou monté en épingle ?

    Bouche re-faîte : Entre la poupée gonflable et le sourire du joker.

    2014 : Un travailleur sur cinq en bas salaire. Sale air.