Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Pèle abhorre (mais pas Emma).

    Mes docs : Relevés de comptes, des médicaments achetables sur internet, moins cher, les pharmaciens rechignent, en bons défenseurs du bien-être. Me remet en mémoire l’expérience d’un copain et d’une copine étudiants en pharma faisant leurs saisons en pharmacies. Le lundi, jour de leurs « petits vieux », venant chercher leurs pochons à gélules, avec nombre placebo ou médocs quasi inefficaces. Qui n’a pas assisté en ce magasin à des réunions Tupper War  de personnes âgées devisant sur les traitements avec des officiants vantant les vertus de nouveaux « bonbons », pas vous ? Ah, je devais être grippé, on hallucine.     


    Dun quelconque de lUMP : « Les tartuffes et autres défenseurs de lhommiste qui tiennent dans une cabine téléphonique du café Flore. » Phraséologie FN déjàéprouvée (ça date), les vieilles ficelles sont toujours tirées, tressées, on montre du doigt les gens du sous-sol pour se mettre dans la poche les gens du bas, « ça leur évitent de soccuper de nos histoires, circulez, y’à rien à voir. »   


    Jvais tous les bouffer : Le peintre David en son temps, sous la terreur, fut chef de la police. Sarko, pied de chevalet, puisque ce fut le pied dappel pour sa peinture élyséenne. Couleurs plus criardes.


    De qui se délecte-t-on ? : Les pubs faites par des gens connus, souvent des acteurs, cest con, on sait que ce nest pas leur métier ce quils « défendent », donc ils mentent, mais ils rassurent ? A quoi ça tient. Confondre lacteur, lactrice, de lhomme et la femme au quotidien, pourquoi croyez-vous quils prennent des cours ? Ca aide pour la pub.


    "Souvenirs souvenirs" : « Employeurs, mêlez-vous de vos oignons », ce fut un slogan du Medef pour pousser les patrons à aller voter aux élections prudhormonales. Les salariés pleurent, à se faire éplucher sans cesse.


    Allez hue la Marie, ou la marée? : Chirac 95, « l’égalité des chances » de se retrouver sans aucune. Chirac 2002 et la sécurité pour tous par « limpunité zéro » en se retrouvant avec une seule, la sienne. Depuis, cela a fait des petits, logique, quand ils changèrent le RPR par lUMP, pour cause de trop-plein daffaires, pendant les soldes, les affaires continuaient.


    Reproduction sans conscience nest que ruine de l’âme : Et d’âmes. Où se situe l’égoïsme quand ce nest que réflexe hypnotique inculqué narcissique ?

    Des rives et dérive, quand on voit tant de bras de mer(es) se refermer douloureusement puisque manque de réflexion (faire comme tout le monde.) Heureusement les gosses sont moins cons, mais après ils vieillissent, deviennent « adultes », et reproduisent le schéma, comme nos politiques « congelés » (Ce trait desprit de Fillon, il est vrai quil respire la fraîcheur) ne voyant pas la nécessité de changements de mode dorganisation, car tous ces nouveaux venus (fierté nationale), si on compte sur la croissance carnassière pour quils se sustentent, on est (nait) hors course.

    Partager le travail (donc gagner moins), alors qu’il faut travailler plus pour gagner plus, et plus longtemps. Matérialisme individualiste égoïste, dressage réussit (quand tout le monde se protège, plus personne ne protège personne), mais ça profite à qui ? A mon avis aux dresseurs, ils paradent devant nos cages, par télés interposées (pour les moins discrets).      

     

    « Je pense qu’il faut dire la vérité aux français » : Ils ont grandi (traduit ils sont moins cons, nuançons) donc serions moins charançons collectivement à ronger moins leur langue de bois. Mais nous gardons nos têtes de plomb, plutôt en carton, en leur jeu de massacre.

     

    Le saviez-vous : Je n’ose le croire, ils auraient inventé un appareil photo refusant de se déclencher si le sujet ne sourit pas ? Un sujet SF, un appareil axé sur les ondes. Et s’il se déclenche pour une plante, un caillou ? Ou pire, ne se déclenche pas pour les sourires faux.

     

    Zones sensibles (pauvres) et zones désensibilisées (riches) : Carie et dent saine, dépend de l’arracheur de dents, surtout en petite et grande couronne.

     

    De 1954 à 2002 : 80% des variétés potagères radiées du catalogue français, la standardisation jusque dans nos assiettes, c’est déprimant, et les paysans ne pouvant plus organiser eux-mêmes la sélection naturelle de leurs semences. A quand pour la semence humaine ? Je vais revoir X-files, j’ai du rater un truc. Les E.T sont bien parmi nous, cachés dans leurs labos, dans leurs bureaux en verre réfléchissant, à fomenter pour contrôler cette planète. Breveter le vivant, c’est comme prostituer l’amour, du dominant/dominé, tout le monde n’est pas adeptes, mais eux nous y forcent. La planète en gigantesque back-room ? En coulisses ils intriguent, dans leurs caves pour les caves, ce que nous sommes à leurs yeux (sans se rebiffer ?).

    Jusqu’aux variétés potagères, les racines du mal s’infiltrent partout, sain filtre ne retenant que poison, le diable ne se cache pas que dans les détails, en les additionnant. Au royaume des aveugles le borne est roi, et la borne de l’éternel but sacrificiel pour une caste tentaculaire sans cesse repoussé sinon plus de mainmise donc plus d’effarants profits, reine.       

     

     

  • Ah bah si c'est ça!

    Jalabert, un shooté malgré soi, ouvre le bal du centième tour de France, ouvrant l’éternelle même page, tout comme Tapie, et consorts, con de sort, c’est dopage au fric à tous les étages étalages. Ils s’en passeraient bien, mais la vie médiatique n’est pas un long fleuve tranquille.

    Patent et pas tant, mais partant pour la roue de la fortune face à l’infortune, roue de roués paons?  Des yeux plein la queue pour hypnotiser et foutre la trouille, yeux de la justice, du législatif et judiciaire. Garder à distance, c’est dis tance.

    Et ce cumul des mandales, aux oubliettes? En soi sous certaines conditions pourquoi pas, mais en cumul de salaires moins forts, car n’est-ce pas déprécier le travail que de ne pas être à fond dans un seul? Quand nombre ont les jetons certains prennent trop de jetons, au casino du cumul citons le sénateur-maire PS de Strasbourg, Roland Ries, une liste exhaustive trop rébarbative, la lessiveuse lave plus blanc que trouble.  

    Hauts fonctionnaires en famille (déjà proches, mais divergences sur affaires), autocratie trop prégnante et prenante, à tous les étages, organisation de la cooptation, d’ascenseurs en retour d’ascenseurs ; qui va à l’échafaud avant échauffourées; le tournis, le vertige, donc un autre renvoi, comme une mauvaise cuite, sale gueule de bois, chevaux de bois en manège désenchanté, qui tient la queue de Mickey?

    Accaparer, faire fructifier, spéculer, dans la boite à souffleurs parangons de vertu en bulle caste, savent que des français souffrent, d’ailleurs ils en font partie (qui en douterait, des cyniques ?) de toute leur âme, fibre, ils sont avec nous, ont une telle capacité d’empathie, de transfert, pièce de théâtre  politique, une représentation, spectateurs d’une pièce qui ne représentent que ses acteurs, au moins ils ont de l’imagination pour imaginer telle farce. Molière honoré.      

    Caste qui castre, ils ne vivent qu’entre eux, professionnels de la politique, donc transparence de sa vie financière à souhaiter, mais illusoire? Ces histoires de patrimoine, pourquoi ce lever de bouclier ? Je crois qu’ils n’aiment pas trop que le « peuple » se rende un peu trop compte que tout cela n’est qu’avant tout histoires de famille, autocratie déguisée, le piédestal en pieds des stalles, un risque ? Feront-ils plus de liquide ?

    Reflet de notre société civile, collective, avoir les dirigeants qu’on mérite ? Doivent-ils être au-dessus de notre mentalité collective ?  (Bah, sans tomber dans le divin et le rigorisme, un peu de plomb dans l’aile les élites, au tir aux pigeons se sont trop entraînées, elles croient ne plus avoir à viser puisque sentant naturellement la cible. Il est vrai qu’avec ces années d’expérience). 

    Transparence, bourgeoisie d’appareil  structurée, droite et gauche, haut et bas, France d’en haut, France d’en bas, népotisme et autocratie, personnes issues du même milieu favorisé, assemblée représentative d’elle-même, en connivence avec les milieux financiers, consanguinité, finance prédatrice, classes dirigeantes, exigence très forte de rentabilité sur les dirigeants, l’argent appel lard gens pour art gente, ris, petit exemple, le maire, le rond point, l’appel d’offre arrangé, le gendre entrepreneur. Gangrène.

    Et les journalistes ? La peur de la porte.  « La hargne du domestique congédié », expression de Jean Galtier-Boissière, fondateur du Crapouillot, parlant d’eux, si virés, mais de nos jours se replacent toujours, pour les pontes, porteurs de plus-value, un manège « enchanté », on retrouve la queue de Mickey.

    La corruption, les gens s’en foutent, la sanie est partout, ils feraient pareil et ne font plus de différence entre eux et des élus, plus de réelle volonté de probité, à  la rigueur, c’est être faible. Ne dit-on pas souvent de quelqu’un « qu’il est gentil », traduit, on va bien la lui mettre.

    Donc finance prédatrice, capital purement financier, poids des états sur les taux de change et classes dirigeantes aimant l’argent des plus riches (Sarko en grand symptôme), qui elles souhaitent une forte rentabilité, le capitalisme industriel aux mains du capitalisme financier, qui restaure le capitalisme de l’ ère Reggan, ta(t)cher, moins de social (le grand chantier de tous les sycophantes ressassant,  faut qu’ça rentre, techniques de lobbystes, ou à la Tapie à l’Elysée pour son histoire Adidas, où à la gourou pour mener sa secte, à la langue de pub) plus de profits, moins de dépenses publiques, plus assez rentable pour le kapital, et l’éternelle peur de la fuite des capitaux s’ils ne saignent pas assez, alors que le vrai problème est la fraude fiscale, le reste n’est que viennoiseries, mais entre gens de bonne compagnie, on boit le thé (et du p’tit lait). Et sans ces gens de maison, la domination serait moins douce.

    Ils ont massacrés les tigres, en Inde, du haut d’éléphants, sans risques, pour s’amuser, sacrifiant parfois des boys, avec la complicité de dirigeants et notables locaux. La hiérarchie horizontale, certains en rêve, les maîtres l’ont faite, depuis longtemps, les 1% (pour reprendre l’image des Huns dignes, nés), sont partout, entre eux, chez eux. Avec des gens comme ça au goût du sang prononcé, et tueurs de beauté pour leur malsaine soif de contrôle et de frime, le vampirisme (surgeon du capitalisme en roue libre) a de beaux jours devant lui. Mais que font les loups-garous ? Le nez dans la pâtée, on a les sens moins aiguisés.  

     

     

  • Pêlosie de rien

    La complainte du prout-prout

    "voulez vous me laisser tranquille, nous n'avons pas gardé les vaches ensemble!".

     

    Mon âme en frémit d'émotion

    J'en ai les préjugés tout marron

    Quel cri déchirant de sincérité

    On sent qu'ils en ont bavé

    Les prouts-prouts

     

    Mais pourquoi il me parle de vaches

    Il m'abuse, non? Qu'a t-il élevé

    Sinon une paire de jeunes cloches

    Qu'ont rien de très fermiers

     

    Un gommeux, une donzelle, en broche

    Ont leur dit vite qu'ils sont bien nés

    Et malgré leur sale tronche

    Seront toujours respectés.

    Les prouts-prouts

     

    Ils sont tout plein d'ambition

    On les dit péteux, mais non,

    Ils ont seulement le coeur chaviré

    Depuis longtemps qu'ils sont en -saignées

     

    Voilà, j'en ai le dégoût qui flanche

    Mais peut-on vraiment prendre en pitié

    Ces jeunes pousses, ces futures branches

    Quand allons-nous les vidanger

     

    Ces prouts propres.




    Gueule thon

     

    Eh, ceux qui vont chez Fauchon c'est pas des fauchés, z'ont tous des ronds alors j'attends qu'un s'fasse faucher par une faucheuse, j'pourrai lui piquer son Fauchon, sans s'fâcher, il s'ra fichu, et un plein d'flouze qui s'fait faucher, c'est fâcheux, pour ses amis les faucheurs (quoique,), mais pour moi, rien d'fâchant, j's'rai pas fâché d'faucher du Fauchon sur un plein d'ronds, de l'foutre dans mon baluchon, pendant qu'le froissé finira dans la fosse, j'irai manger les fruits d'ma fauche, dans les blés fraîchement fauchés, l'odeur est meilleure qu'auprès d'un macchabée parce qu'on soit riche ou fauché, on finit par puer, même si on s'nourrit chez Fauchon.