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  • Glagla

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  • Mais que de...

     

    A taille humaine : Consiste à éliminer les bois de l'année (licenciements) tout en conservant une ou plusieurs belles branches (CAC 40) bien situées afin de laisser bon nombre de bourgeons (sous-traitants) qui seront à l'origine de la pousse des fruits (dividendes). Le raisin se forme sur «l'oeil de l'année» (de Moscou, Big Brother ?) qui pousse sur le bois de l'année précédente (bilan). La taille en gobelet (taille courte) rend la vigne moins vulnérable aux intempéries (concurrence) d'un pays chaud (vent, sécheresse). La taille en guyot (simple ou double) permet de ne conserver qu'une belle branche (lignée des grandes familles) en hauteur ou deux (dépend du pays d'accueil du cache-cache grisbi et de son altitude) en plus du tronc (indulgences et fausse compassion) et convient mieux à un climat tempéré.

     

    Force est de con tâter : Au pis sans lit, détourner son cours.

     

    Trou noir : «Ne peut se combler puisque c'est un sanibroyeur, t'as déjà vu un sanibroyeur se combler, ou c'est qu'il est bouché.» Aurait mérité d'être un «entendu».

     

    Les livres rares : Ceux qu'ils ont lu  ?

     

    Pharisiens : Les français de l'intérieur (à Paris) plus atteints par la pollution que les externés. Pour une fois que les bourges morflent plus. Avec tous ces bobios, drôle d'ironie.

     

    La farce cachée de l'urne : Fin mars.

     

    Contrôle social et mobiles : Téléphoner, pour quels mobiles, futiles, les mobiles bidules jouets, si dépendants des girouettes créant le vent (vents).

     

    Le Clash : Police on my BAC.

     

    Entendu : «C'est rarement les riches qui se révoltent», mais en volts nous raies, non, nous rayent, d'un coup de plume, ou plumeau. Diviser, régner, et culpabiliser, de diversions en divertissements, avec pleins de faux sujets masquant les vrais. Ils en veulent toujours plus, car ils n'en ont jamais assez  ? Homme outil, passe ton coutil (et ton licol), et gare au knout.

     

     

     

     

  • La farce cachée de la Lune

     

    Toucher, c'est frapper ? : Soudain, votre voisin (sympa au demeurant) frappe à votre porte pour nuisances et vous balance un tombereau inextinguible de reproches. N'y tenant plus (puisqu'on ne peut en placer une), une tape de quatre doigts amicale (puisqu'en souriant) sur un pectoral. Arrêter la machine sourde. S'en suit «Tu m'as frappé – Bah non, je ne t'ai pas frappé, c'est pour que je puisse en placer une – Tu m'as frappé.» Bon, fin du dialogue. Vivement une société «à la Brazil», des caméras et micros partout, si c'est pour entendre moins de conneries, après tout.

     

    Carboniser : Empreinte carbone hystérisée, surtout depuis l'avènement (bien pratique quand même, la preuve) de la com technologique, outil comme toujours en de mauvaises mains. Penser qu'à nous fesser pour leur bandaison de luxe (ou pas) ?

     

    St Valentin : Me rappelle la journée du vélo à Montpellier, la journée la plus dangereuse, à vélo. Des bobios partout en famille soudain membres d'une grande fraternité (moi, c'était tout le temps). L'effet mode, décidément.

     

    Sujet philo : Voler les voleurs, un acte citoyen ? (Vous ne sombrerez pas dans le béat partage surtout effectif à l'écrit).

     

    Est-ce que Dieu a de l'humour : Si nous sommes faits à son image. Spécial l'humour quand même. Bon, ne pas oublier que nous sommes responsables devant lui, pas l'inverse.

     

    Virus, terrorisme, connerie, pas de frontière : Des fondrières.

     

    «Sursaut de mysoginie en Tunisie» : Retour, sinon cela paraît positif, comme «imposer une liberté», oxymore.

     

    De requêtes en roquettes : Quelle salade, aux pissenlits, avec limaces, soupe grimaces grimées. Le magicien ose en Ukraine.

     

    Le bétail des riches mange le pain des pauvres : Quand le pain (coup de poing) mangera le bétail des riches, changer d'enclos.