Une petite anecdote. Je demande au téléphone à une préposée d'EDF un échéancier pour une facture, j'essuie un refus, en un mot, je peux me torcher avec. Je lui demande s'ils sont totalement privatisés. "Oh mais vous savez, je n'attends que ça. - Et bien j'espère que vous ferez partie de la première brochette de licenciements (silence). Au revoir madame." Je raccroche. Le système toujours aussi bien ficelé, les gens du parking souterrain et ceux du parking en plein air se crachent à la gueule. Je préfère brochette à charette, c'est plus visuel.
C'est comment qu'on freine - Page 128
-
Maillon faible
-
Une vraie plaie
Assez, assez d'assistés, ces actionnaires qui touchent en faisant toucher le fond à d'autres, en ne foutant rien, ils pillent la France et la conduisent à sa perte. Moins on en fout, plus on s'enrichit, pour la communauté, c'est suicidaire. Le travail, remis en avant, pour des profiteurs fainéants, merci bien. Bon, dans le même temps, "toute personne différente m'enrichit". bel adage, s'ils ne cherchent qu'à te déposséder?
-
Jaurès
"Le capitalisme porte en lui-même les germes de la guerre", la preuve ils l'ont pétrifié sur la place qui porte son nom, à Montpellier, au lieu du biz buz estudian-teint pour amuser les nombreuses volières à cappucino. Elles l'encerclent, on ne sait jamais, muselons la résistance. Gageons qu'il est conchié sans ambages, la ferveur ne s'électrisant qu'en cas de problèmes avec l'addition. Les pigeons apprivoisés à approvisionner leur provisoire, sous l'oeil sévère des proviseurs bailleurs de fonds, ces profiteurs, s'en chargent. Bon, un peu de sérieux, ils ne savent même pas qui c'est, l'honneur est sauf.
Un soir, je rentrais de nuit d'un apéro de six heures, d'affilées, bien enfilé, la statue tenait une bouteille de coca dans sa main. Intrigué, bien irrigué, je la prends, elle était pleine, pas même décapsulée. Jaurès m'offre un destop de fin de nuit pour avoir moins mal à la tête de lendemain, classieux.